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Appel aux enseignants pour endiguer le « délitement moral ».
Les Coccyxfards contre les punaises de lit du journalisme
La liberté d’expression ne s’use que si l’on ne s’en sert pas.
samedi 28 septembre 2024, par
J’ai renouvelé en 2024 ma séance « Former l’esprit critique » de rentrée 2023 en l’axant sur la brigittologie dont je suis dorénavant intronisé spécialiste par GPTV. Il se trouve que sur quatre classes, cette séance a bien marché. Beaucoup d’étudiants ont participé, alors que souvent ils sont un peu réticents en début d’année dans la matière que j’enseigne (Culture générale & expression), qui n’est pas leur préoccupation première dans la formation de BTS qu’ils entament. Pour être inattaquable, j’ai commencé, comme l’an dernier, en plaçant cette séance sous l’égide d’Éduscol. En effet, le fascisme continue sa marche au bulldozer en macronistan (à moins que ce ne soit en rothschildstan ?) : un enseignant d’une école privée de Toulouse a été suspendu (c’est devenu une mode) pour avoir évoqué les exactions (je cite) d’Israël à Gaza. Il est vrai qu’il a manqué de prudence, et la lecture de cet article lui aurait évité ce désagrément. Il lui est reproché des propos « Tenus dans un cadre professionnel par un agent public sans relation avec la matière enseignée ».
Je propose à tous les collègues, quelle que soit leur matière, de se lancer dans cette séance, car selon Éduscol, la tâche de « Former l’esprit critique » concerne toutes les matières, et cet argument tordu de « sans relation avec la matière enseignée » tombe immédiatement. Une autre façon de détourner cet argument est de se placer dans le cadre de l’éducation à la sexualité, un autre domaine qui peut concerner tous les enseignants quelle que soit leur matière. En effet, en évoquant un cas de détournement de mineur de 14 ans par un enseignant, et en prémunissant les élèves contre de telles agressions sexuelles comme celle qu’a subie notre bien aimé président de république, nous contribuons à l’éducation à la sexualité, et cela ne peut pas nous être reproché ; au contraire, nous mériterons les palmes acacadémiques, et même le tuba ! Eh oui, je m’inscris en faux contre une dérive de certains de nos amis complotistes, qui tombent dans le piège de nier toute éducation à la sexualité. Il faut distinguer l’éducation vertueuse à la sexualité, qui informe des risques et transmet les connaissances factuelles fondamentales, de la perversion actuelle que connaît cette matière, sous l’influence des mondialistes, et particulièrement en France, de la personne dont il nous revient d’éradiquer l’influence néfaste, l’individu connu sous le nom de « Brigitte Macron ».
1. « Former l’esprit critique » d’après Éduscol
Avertissement préliminaire : « Former l’esprit critique » est une exigence de l’enseignement de Culture générale & expression. En effet, pour réussir l’exercice de l’examen appelé « essai », il faut s’entraîner régulièrement à exercer son esprit critique sur des documents d’actualité de toutes origines, pour les confronter, et en tirer des commentaires personnels. Chaque étudiant aura son opinion, en tant qu’étudiant, mais aussi en tant qu’adulte et citoyen, et des débats ouverts permettront de confronter les opinions basées sur les documents d’actualité.
Éduscol, le site ressources de l’Éducation nationale propose une page intéressante, qui commence avec une vidéo de 9 minutes (que j’ai même lancée en accéléré à 1,25 car les étudiants la trouvent trop longue) dans laquelle un enseignant explique ce qu’est l’esprit critique. J’avais noté dans mon cours de l’an dernier une phrase qui avait été ajoutée après la vidéo, sur la même page et qui évoquait de façon étonnante (en fort contraste avec les propos de bon sens du collègue de la vidéo), « le complotisme ». Je n’ai pas lu cette phrase cette année, mais plutôt lu et commenté le visuel qui se trouve sous la vidéo sous la forme de ce disque très pédagogique, que je reproduis donc ici :
2. René Chiche : « La soumission est très différente de l’obéissance ».
J’ai diffusé un extrait de 5 minutes de cette vidéo, entre 35’ et 40’.
Comme tous les établissements scolaires organiseront vers la fin septembre des exercices de PPMS (Plan particulier de mise en sûreté), on peut écouter René Chiche exercer son esprit critique et nous expliquer à quel point il est absurde d’apprendre aux enfants à se coucher par terre en attendant qu’on les égorge. C’est pourtant ce que fait et fait faire l’Éducation nationale. Imaginerait-on pareil délire en Israël. Dans ce pays, on exerce les citoyens à se ruer immédiatement sur un terroriste en cas de tentative d’attentat. C’est la stratégie dite du « chien fou ». Cette prise de parole a pour cadre un Conseil scientifique indépendant, et René Chiche, professeur et syndicaliste au CV prestigieux, membre du Conseil supérieur de l’éducation, a été en mai 2023 puni de son esprit critique pour avoir assimilé le passe sanitaire au statut des juifs sous Pétain ; propos tenus d’ailleurs sur son compte X et pas en classe.
Je voulais montrer aux Étudiants qu’un enseignant peut être très critique sur le gouvernement dans un monde « démocratique ». Évidemment je ne reprends pas en cours ses propos à mon compte, mais conformément aux préceptes d’Éduscol, je lance un bref débat au cours duquel les étudiants donnent leur avis (et moi aussi, mais à égalité avec eux en leur disant que ce n’est là que mon opinion), ce qui permet d’illustrer le cours d’Éduscol.
Il se trouve d’ailleurs que dans mon établissement, lors d’une réunion de pré-rentrée, j’ai été ravi de constater que la doctrine sur ce type de PPMS « intrusion » avait évolué. J’ai fait remarquer à mes étudiants qu’en réalité, les choses ne se passent pas comme ça. J’ai pris comme exemple l’assassinat de Dominique Bernard (à propos, méfions-nous, l’anniversaire du procès de Charlie Hebdo revient bientôt, et il est probable que ce type d’opération sera rééditée), au cours duquel l’intrus s’est dirigé vers une victime à sa portée, puis des collègues courageux se sont précipités à son secours, moyennant quoi se cacher sous des tables, non seulement est inutile, mais révèle une philosophie de la vie décadente : quelle est cette civilisation qui se couche et attend la mort plutôt que de se battre face au mal ? Pensez au « fight » de Trump lors de sa tentative d’attentat.
Les étudiants, bien évidemment, émettent des avis variés, que nous respectons, et nous émettons notre avis dans le cadre du débat, sans chercher à l’imposer. J’ai expliqué l’expérience de Milgram pour terminer d’exploiter l’extrait de René Chiche. Le débat a donc aussi porté sur le souvenir des étudiants de ce qu’ils ont subi 4 ans auparavant. L’un d’eux a dit que René Chiche ne pouvait pas contester l’utilité des masques alors qu’il n’est pas médecin. Je lui ai fait remarquer qu’il était invité à un débat face à trois médecins, et que forcément, le thème avait été abordé dans le débat avant l’extrait, puisque ces 3 médecins semblaient d’accord. J’ai expliqué qui étaient ces médecins qui eux aussi avaient exercé leur droit démocratique à l’esprit critique en manifestant par la création de ce Conseil scientifique indépendant, leur opposition aux mesures sanitaires.
3. « Pipolisation » de la vie politique.
Je commence par montrer la photo de la discorde, en précisant qu’elle avait été publiée par la version slovène du magazine Elle, fleuron de la culture et du journalisme français. Quelques étudiants seulement dans chaque classe l’avaient vu passer ; d’où l’intérêt de multiplier ce type de séance pédagogique dans tous les établissements de France & de Navarre pour édifier nos chères têtes blondes… ou brunes !
Je n’ai fait aucun commentaire sur l’entrejambe trognesque et ses lectures clitosceptiques, mais j’ai juste donné quelques éléments de culture générale sur le Fort de Brégançon, et rappelé que notre cher couple présidentiel y avait fait construire à nos frais une piscine pour se protéger des paparazzi, mais que cette couple d’individus contradictoires aimait bien quand même faire la une de la presse de caniveau. Puis, j’ai diffusé la vidéo ci-dessous comme un cas d’école, en donnant la consigne suivante aux étudiants : « le discours de ces journalistes est-il conforme à la notion d’esprit critique telle qu’elle est définie par Éduscol ? »
Pendant la projection, j’ai noté rapidement au tableau sur deux colonnes les mots importants vomis, pardon, proférés par cette commissaire politique qui gagne sans doute plus de 10 000 € en salaire (en fait je n’en ai aucune idée). On trouvera le verbatim de cette diarrhée sur cet article.
Mensonges ou approximations
« cyber-harcèlement » ; « réseaux sociaux », « image dont on ne sait d’où elle vient » ; « rumeur » ; « fake news » ; « Kamala Harris » [a déjà fait les frais de ce genre d’attaque] « transphobe » ; « plainte en diffamation contre deux femmes » ; « journaliste du Nouvel Obs » ; « délitement des valeurs » ; « ne pas les laisser parler » ; « en face il faut qu’on réponde » ; « faire le ménage » ; « les hébergeurs » ; « modérateurs » ; « modération ».
Insultes
« délirante », « complotistes », « conspirationnistes », « cafards », « vermine », « esprits dérangés », « ceux qui pensent que la terre est plate » ; « délire » ; ; « extrême drouâteuh » ; « dingos » ; « extrême gauche » ; « anti-élite » ; « gilets jaunes » ; « antivax » ; « naturopathes » ; « une médium » ; « complot » ; « obsédés » ; « habités » ; « trumpistes » ; « complosphère » ; « fléau » ; « complotistes » ; « gangrène » ; « éradiquer ».
Contrairement à ce à quoi je m’attendais, les étudiants, dans les 4 classes, ont tout de suite réagi de la même manière : « elle exagère » ; « elle sert le pouvoir » et « ce n’est pas de l’esprit critique ». Ils ont bien compris qu’il ne s’agissait pas de journalisme, mais d’une bordée d’injures. Plusieurs ont posé des questions sur le fond de l’affaire. Je n’ai pas répondu à ces questions, me contentant de leur signaler l’existence du dossier Pressibus, mais j’ai répondu qu’ils posaient les bonnes questions qu’un journaliste digne de ce nom devrait se poser en tâchant d’y répondre. Puis j’ai repris quelques éléments de cette diarrhée verbale qui ressemble en réalité à la lecture d’une fiche de McKinsey, car tout semble fléché pour parvenir à la série finale et l’appel à la censure des réseaux sociaux cachée sous l’euphémisme « modération », dont les esprits chagrins remarqueront la concomitance avec l’arrestation de Pavel Durov.
J’ai commenté quelques pépites. Les insultes utilisées sont les mêmes que celles utilisées par les nazis contre les juifs (cf. Philosophie magazine : « Du Juif au migrant : la rhétorique de la vermine ». En ce qui concerne « la terre est plate », oui, je rappelle que nous sommes à l’égard du « Premier dame », à la fois « clitosceptiques » et « platistes », car nous croyons dur comme fer qu’il n’y a pas de clito, et que la poitrine est plate ! Les insultes « antivax » et « naturopathes » nous font bien rire, mais nous espérons qu’enfin les « antivax » se bougent le cul en voyant le bulldozer fasciste de la macronie se diriger vers eux.
En ce qui concerne « une médium », cela autorise Amandine Roy à porter plainte contre TF1 pour insulte et discours de haine, car ce mot la désigne sans ambiguïté. Avec « éradiquer » et « gangrène », on bascule dans l’appel au meurtre. Quand elle utilise « trumpiste » pour désigner Candace Owens montrée à l’écran, elle commet deux graves erreurs déontologiques pour une journaliste. Premièrement, le dénigrement de confrère, car Candace Owens est une journaliste ; deuxièmement, l’entorse à la neutralité, en qualifiant comme infamant le fait d’être partisan de l’un des deux candidats à l’élection présidentielle étasunienne. Pour « transphobe », il est bien évident qu’à l’heure où l’État français, à l’instigation justement du détourneur de mineur et de son détourné, ne cesse de faire tous azimuts et dans les écoles la promotion du transgenrisme, il est pour le moins étrange et en tout cas erroné de qualifier de « transphobe » le fait de suspecter que le chef d’orchestre de la transphilie en Macronistan soit une femme à barbe.
En ce qui concerne la seconde série, premièrement, cette bande de prétendus journalistes mentent ouvertement. Il ne s’agit en effet ni de « cyber-harcèlement », ni de « réseaux sociaux », ni de « rumeur », ni de « fake news », mais d’une information que nous rappellerons ci-dessous, et notre propre site ainsi que Pressibus ne sont pas des « réseaux sociaux », mais ont un nom et une adresse facilement trouvables pour tout journaliste qui ne soit pas un journalope. Quant à « image dont on ne sait d’où elle vient », il s’agit d’un mensonge qui témoigne de l’incapacité professionnelle d’Alba Ventura, qui devrait être licenciée sur le champ par TF1 pour faute grave. La photo est parue sur le site de la version slovène du journal Elle, soit dit en passant fleuron de la presse française qui date de l’époque où la France et les femmes françaises faisaient rêver le monde entier. Nous sommes descendus de Catherine Deneuve et Brigitte Bardot à Brigitte Macron et Leslie Barbara Butch ; quelle infâme décadence !
Délitement des valeurs ?
Quant à « Kamala Harris » [qui a déjà fait les frais de ce genre d’attaque] « transphobe », c’est un bel exemple de fabrique d’une fake news : Alba Ventura fait sous nos yeux ce qu’elle reproche aux autres de faire ! Elle lance une rumeur sur une femme qui ne lui a rien demandé !
En parlant de « plainte en diffamation contre deux femmes », Alba ment, car il ne s’agit pas de cela, mais d’une plainte sur un point annexe qui ne concerne pas la question centrale du détournement de mineur, de l’usurpation d’identité ou du changement de sexe, comme l’a clairement expliqué Me Jean Ennochi, avocat des Trogneux, au tribunal. Voyez mon article sur le procès.
Quant elle évoque une « journaliste du Nouvel Obs », Alba Ventura devrait se renseigner. En effet, Emmanuelle Anizon a enfoncé un clou définitif dans le cercueil de la fable de la romance de la « Première dame » et du futur présiroi, en révélant un point essentiel avec son livre L’Affaire madame : « Le couple s’est connu alors qu’Emmanuel Macron avait 14 ans », (Libération, 16 mars 2024 ; voir cet article). « Connu » au sens biblique, bien entendu.
Donc si « délitement des valeurs » il y a, il s’agit d’une inversion accusatoire caractérisée, car le fait d’avoir « connu » au sens biblique un élève âgé de 14 ans constitue au sens juridique du terme un « détournement de mineur de 15 ans » (différence entre article 227-25 et article 227-27 du Code pénal). Rappelons que cette infraction est constituée même si le mineur était consentant. Nous pouvons donc proclamer en vertu de cette entrevue parue dans Libération, et en ce qui me concerne j’ai affirmé devant mes étudiants, que « Brigitte Macron a commis un acte pédophile sur Emmanuel Macron ». Donc quand cette personne, qu’elle soit née homme ou femme, se permet de choisir les ministres de la Justice ou de l’Éducation, alors qu’il n’existe pas de « Première dame » en France ; quand elle intervient dans les établissements scolaires contre le prétendu « cyber-harcèlement », et quand elle choisit le blasphémateur Thomas Jolly comme metteur en scène des cérémonies d’ouverture et de fermeture des JO qui ont entraîné un blâme mondial de notre pays, il s’agit d’une insulte à l’honneur de la France. Brigitte Macron est un pédophile qui nuit gravement à l’image de la France ; point barre.
Enfin, quand Alba Ventura et ses complices enfilent ces perles : « ne pas les laisser parler » ; « en face il faut qu’on réponde » ; « faire le ménage » ; « les hébergeurs » ; « modérateurs » ; « modération », il est bien évident qu’elle récite une fiche de McKinsey, commandée à nos frais par Macron dont elle est le laquais, ou plutôt le groom, à sa façon d’enfoncer les portes ouvertes. Macron, lui même serviteur de trois maîtres, David de Rothschild, Bernard Arnault (dont les trois enfants du second lit ont eu Brigitte Macron comme professeur de français) et Henry Kravis. Ils se comportent en caste qui se sépare de la communauté nationale, alors qu’ils sont journalistes et censés représenter la France & les Français. Cela ne caractérise-t-il pas ce qu’on appelle « séparatisme », contre lequel est censé lutter l’autre employé de David de Rothschild, je veux dire l’« agent israélien » Rudy Reichstadt (terme employé par François Belliot dans son livre L’Anti-conspirationnisme mis à nu à travers l’imposture Rudy Reichstadt (2021)). La mention de « cyber-harcèlement » constitue également une inversion accusatoire, car ces journalistes et les macronnards qu’ils servent, se comportent en meute pour harceler ceux qu’ils qualifient de tous les noms. Ceux qui sont harcelés par ces chiens et leurs maîtres, c’est Xavier Poussard, Natacha Rey, Amandine Roy, Didier Raoult, Dieudonné, Alain Soral, Xavier Azalbert, etc.
Pour conclure avec ce cas clinique de journalisme nord-coréen, j’ai expliqué qu’en réalité ces journalistes jouaient double jeu. Ils savent pertinemment que Brigitte est un homme, mais leur objectif est de regagner du terrain sur les matinales concurrentes de BFMTV et France 2, car le score de TF1 est minable sur cette tranche horaire. Ils ne font que courir après le buzz en se prémunissant de ces insultes à la façon d’un domestique de comédie, qui apercevant son maître, se met à parler fort en insultant ses ennemis alors qu’il était précisément en train de médire de lui avec eux. Cela permet de définir l’effet Streisand. D’ailleurs, ces laquais maladroits ont dû se faire tirer l’oreille après l’émission, car malgré le buzz de cette vidéo, pas un seul de leurs confrères de la télévision de grand chemin n’a repris la balle au bond. Ces gentils toutous de garde de la macronie et du mondialisme ne mordent pas la main qui les nourrit.
Xavier Poussard vs Alba Ventura
Après avoir analysé cette performance de TF1 au regard de la définition Éduscol de l’esprit critique, j’ai proposé aux étudiants cet extrait de Faits & Documents, en demandant ce qu’aurait dû faire cette journaliste. Ils ont vite répondu qu’elle aurait dû mentionner ce fait, et tenter d’interroger ce confrère, plutôt que de recourir à l’insulte. Cela permet de distinguer le journaliste groom de celui qui « porte la plume dans la plaie » selon le mot célèbre d’Albert Londres. L’Élysée n’ayant pas relevé le défi de Xavier Poussard, la formule « « Brigitte » est en effet née homme sous le nom de Jean-Michel Trogneux. Cet individu, qui se fait aujourd’hui appeler « Madame la Présidente », s’est fait connaître sous l’identité civile de naissance de sa sœur, Brigitte Trogneux. C’est donc en se présentant au grand public sous l’identité de sa sœur cadette, Brigitte, que Jean-Michel Trogneux s’est installé à l’Élysée et s’est hissé au sommet de la République… » est désormais une information, et nullement une « rumeur » ou « fake news ». Brigitte Macron est un homme. Et un détourneur de mineur. Et un usurpateur d’identité.
J’ai terminé cette séance pédagogique par cet extrait d’une entrevue de Xavier Poussard par Éric Verhaegue, énarque (comme Macron) et propriétaire du Courrier des Stratèges.
Les étudiants ont vite remarqué que Xavier Poussard est tout le contraire du portrait robot dressé par Alba Ventura et ses comparses. Je leur ai demandé : « Lequel des deux est le plus digne du métier de journalisme ? » , la réponse a été unanime. Et je précise que ce n’est pas évident, car en temps normal, quand je présent ma rubrique « former l’esprit critique » en début de cours, les étudiants adoptent facilement une posture normopathe. Dans une classe, comme j’entendais 3 étudiants discuter à la fin du cours, je me suis approché. L’un d’eux demandait aux autres s’ils supporteraient que leur enfant subisse cela d’un enseignant. Là j’ai exprimé clairement mon opinion, le cours étant fini et ces étudiants étant des adultes. D’ailleurs, en début d’année, j’ai coutume de « coacher » mes étudiants, pour contrecarrer leur tendance à l’infantilisme, surtout dans les BTS, qui s’enseignent en lycée. Je leur tiens un discours responsabilisant, je les vouvoie, je leur dis qu’ils sont des adultes, des étudiants, qu’ils vont pouvoir voter (ou ont déjà voté) comme tous les citoyens, et quand je leur parle d’éducation, je fais bien attention à leur dire que cela les concerne à la fois en tant qu’étudiant mais aussi que futur parent, d’ici une poignée d’années. Il se trouve que l’an dernier, une de nos étudiantes de 2e année est devenue mère…
Je pense avoir respecté l’objectif d’Éduscol sur l’esprit critique « à l’heure de réflexions nombreuses sur le complotisme » comme ils disent ; enfin à vous d’en juger !
Droit de réponse ou plainte ?
Au-delà de cette séquence, les citoyens que nous sommes ne devraient-ils pas réagir ? Ne sommes-nous pas en droit de porter plainte pour différents motifs. Discours de haine ? Appel au meurtre ? Désinformation ? Séparatisme (« en face il faut qu’on réponde ») ? Antisémitisme ? On remarque en effet parmi les injures habituelles (comploplo, conspi, antivax, etc.), l’absence de l’accusation la plus affectionnée par la caste : « antimythe ». Il est évident que lorsque l’on agrège dans une bordée de vomi le chapelet traditionnel des insultes antisémites, on a scrupule à utiliser le mot qui trahirait la supercherie ; mais la jurisprudence n’offre-t-elle pas des exemples de condamnation pour « antisémitisme » infligées juste pour l’utilisation en faisceau de ces mots si fortement connotés ? On a naguère cherché des noises au Gal Delawarde pour moins que « cafards » et « vermine », le simple mot « Qui » ? Mais avant de porter plainte, il faudrait exiger un droit de réponse à TF1, en les menaçant en cas de refus, d’une plainte.
Oui, « en face il faut qu’on réponde ». À ces punaises de lits du journalisme de connivence, ne serait-il pas temps d’envoyer nos bataillons non pas de cafards, mais de coccinelles, de coccyxgrues, voire de Coccyxfards ? Aux armes, citoyens ! Éradiquons cette vermine du journalisme parasite ! Donnons la réponse des « antivax » aux journalistes collaborationnistes, qui comme l’a dit Bruno « renflement brun » Le Maire, interviewé par TV5 Monde jeudi 20 juin, sont des « cloportes » qui infestent « les rayures des parquets » « des ministères et des palais de la République ». Nono ne l’a pas précisé, mais ne sommes-nous pas libres d’interpréter ses propos et de voir dans ces « cloportes », les journalistes de la caste ?
Cet individu obèse ci-dessus illustre l’expérience de Milgram. Il était prêt à administrer 450 volts à une personne innocente parce qu’un ministre véreux lui avait dit de le faire. Dommage que ledit ministre n’ait pas ordonné à l’époque, puisque les obèses étaient pointés comme « à risque », de les interner dans des camps d’amaigrissement forcé avec un régime de cafards et de vermine ! En tout cas, l’amaigrissement, ce sont les médias de grand chemin qui le subissent actuellement face aux médias indépendants, et ce n’est que justice, car ce type de punaises de lits du journalisme doivent être boycottés. Ce sont des nuisibles, tout comme les macronnistes sont nuisibles à la France.
À part ça, notre camarade Coccyx Grue nous souhaite une bonne rentrée LGBTQI+ digne des préceptes du Premier trans de France !
– Si vous voulez que Notre Fürhoncle et son détourneur cessent de détruire la France, faites circuler cet article, notamment auprès de vos amis et parents enseignants. Il est vrai que 95 % des enseignants sont normopathes et contribuent à la propagande d’État et à la maltraitance des enfants en bons cobayes de Milgram. Mais comptons sur les 5 % de Résistants. Avec cette séance, 100 étudiants ont été informés, qui peut-être en ont parlé à 500 personnes. Si nous ne sommes que 10 000 enseignants à proposer une telle séance pédagogique, nous pouvons toucher 5 millions de personnes. De toute façon notre bulldozer complotiste avance lentement, mais il finira par écraser la vermine mondialiste. Au-delà de ce cas clinique, il s’agit de démontrer aux élèves et étudiants que les médias de grand chemin ne font que mentir du matin au soir. Pour notre santé mentale, nous devons nous sevrer de cet empoisonnement lent.
– L’illustration de vignette est une création de nos amies Hortense et Lia, sur une demande de l’auteur.
– Article repris par Profession Gendarme.
Voir en ligne : "Cafards", "vermine", "gangrène" : TF1 attaque les relais du BrigitteGate
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