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Tentative d’aborder avec culture & raison un sujet qui la fait perdre. Chapitre 7/7.
Conclusion : Qu’est-ce qu’il y a de scandaleux chez « Brigitte »
Stérilisation ou pas ? Au cœur des ténèbres.
jeudi 8 mai 2025, par
Après les six premiers articles « Socratisation, pédérastie & pédophilie : les mots pour le dire », « L’âge de consentement : variations dans le temps & l’espace », « Quelques illustres prédécesseurs historiques de Chibritte », « Autres prédécesseurs socratiques de Chibritte », « Quelques souvenirs personnels, socratisation & différence d’âge » et « Dissidence » & homophobie, voici le septième et dernier article, notre conclusion : « Qu’est-ce qu’il y a de scandaleux chez « Brigitte » ? »
Plan de l’article :
– Conclusion. Qu’est-ce qu’il y a de scandaleux chez « Brigitte » ?
– Stérilisation ou pas ?
– Au cœur des ténèbres
Conclusion : Qu’est-ce qu’il y a de scandaleux chez « Brigitte » ?
Pour conclure après cette série d’articles qui me fera inévitablement accuser par ceux qui n’auront lu que les titres, de « faire l’apologie de la pédophilie », il me faut isoler ce qui relève du scandale dans le brigittegate, ce qui est inacceptable, en mettant de côté ce qui pourrait relever d’une marginalité transgressive plus ou moins acceptable. Certains lecteurs ont dû tomber de leur chaise à la lecture de cette étude. Mais j’ai avoué mon grand crime dès le début, et c’est la raison d’être de ce site : je suis « homophile », « transphile », et résolument opposé à l’agenda LGBT, d’où l’invention du mot « altersexualité » il y a 20 ans. Donc il n’y avait chez moi aucun soupçon de « transphobie » dans mon intérêt pour ce dossier. J’ai dû l’expliquer bien des fois, mais il faut le reprendre ici, en allant au fond des choses.
Non, pour moi ce ne serait pas un problème, pris isolément, que « brigitte » soit née homme. Les témoignages de ses élèves semblent concordants – malgré les mensonges de Mimi Marchand sur son apparence de prétendue bombe sexuelle – sur le fait que c’était un enseignant charismatique & passionné. Étant « altersexuel », étant tolérant et enclin au pardon, et ayant en mémoire tous ces précédents historiques et littéraires que j’ai exposés précédemment, et de façon plus générale sur mon site altersexualite.com depuis près de 20 ans, étant convaincu avec Montaigne et Pascal de la relativité des coutumes, je pourrais à l’extrême limite passer l’éponge sur une relation amoureuse qui aurait enfreint la loi de l’époque, si ladite relation amoureuse était conforme à la légende dorée que Mimi Marchand a enluminée de ses clichés photoshopés. Oui, les exemples de Simone de Beauvoir, de Gabrielle Russier, le souvenir d’Alcibiade & Socrate, les mésaventures de Roman Polanski et tant d’autres, les expériences limites de certains de mes amis, toute cette jurisprudence si je puis dire, pourraient me faire accepter une relation illégale au départ, puisqu’on prétend que la victime a pardonné et proclame qu’elle était consentante. Alors qu’est-ce qui fait de moi un brigittologue acharné ?
C’est là où il faut distinguer entre l’intuition de Natacha Rey, puis son enquête, et l’étude de fond de Xavier Poussard. S’il n’y avait que Natacha Rey, je veux dire l’outing d’une femme trans basé sur l’analyse de son physique, cela m’aurait intéressé, et j’aurais même pu être admiratif, figurez-vous. En ce qui concerne les trans, l’immense majorité des gens ont plutôt une bonne image des personnalités médiatiques (qui ne sont d’ailleurs en aucun cas représentatifs des trans de la rue, lesquels constituent une part infime de la population).

Amanda Lear ne subit en général aucun quolibet, en dehors du rappel plaisant, je veux dire pas agressif, qu’elle fut un homme, ce dont elle préfère rire (ou publier des photos de nu comme celle-ci, disponible sur GettyImages). Or le parallèle avec « Brigitte » est catastrophique pour l’Élysée, car on se demande pour quelle raison « Brigitte », au lieu de rire comme son copine Amanda ou de poser nu, refuse de reconnaître qu’elle est née homme, et persécute les brigittologues, alors même qu’elle utilise tout son pouvoir pour promouvoir et faire croître & multiplier au-delà du raisonnable cette population ultra-minoritaire. Amanda Lear a posté une remarque ambigue lors de la réélection du Fürhoncle : « J’en reprends pour 5 ans ! ». Nous avons réalisé une vidéo édifiante intitulée « Cherchez la femme. Cherchez l’erreur » Amanda Lear / Brigitte Macron : grande dame / « 1re dame ».
Au-delà du cas Amanda Lear, la plupart des gens adorent les trans du show-biz. Le succès des cabarets transformistes du type Chez Michou ou Madame Arthur, à Paris ou en province, ainsi que des comédies musicales du type Cabaret, en est la preuve. Que je sache, le public de ces cabarets est un public hétérosexuel, par la force des choses, puisque, comme on l’a vu dans le 5e article de cette série, les « LGBT » ne constituent qu’une faible proportion de la population, qui ne pourrait pas remplir une salle de spectacle à longueur d’année. Il est assez connu que Jean-Marie Le Pen était un client fidèle de Michou. Au risque de me répéter, un hétéro à l’aise dans son hétérosexualité n’éprouve aucune gêne à fréquenter ce genre de spectacle issu d’une tradition millénaire.
La plupart de ces artistes sont des hommes qui jouent un rôle de femme, selon la tradition antique du théâtre ; quelques-uns seulement, mais pas moins appréciés, sont des hommes devenus femmes par la chirurgie. J’ai récemment assisté à deux spectacles de Charlène Duval, l’un avec Anny Duperey, l’autre avec Brian Scott Bagley, un transformiste qui incarne Joséphine Baker, et ma camarade Marie-Line Weber (pas travestie pour un sou). Ce dernier spectacle avait lieu dans une petite boîte gay et gauchiste de Paris nommée le Tango, devant un public très complotiste exceptionnellement ce soir-là, qui appréciait ces acteurs travestis. Je mentionne ces faits pour rappeler que dans leur immense majorité, les brigittologues et les complotistes ne sont ni homophobes ni « transphobes » comme voudraient nous le faire croire les Bonnie & Clyde de l’Élysée. C’est juste qu’ils ne supportent plus ces deux individus qui sont le mensonge incarné. Suite à un échange privé, Alexandra Brazzainville a très gentiment réalisé à ma demande une vidéo de mise au point sur Amanda Lear, dont le parcours est selon elle, assez proche du sien, avec une « confusion génétique à la naissance » ; mais je vous laisse écouter.
Mon travail d’enseignant « altersexuel » a consisté, entre autres, à mettre en place une situation de tolérance où un élève qui se sentirait homo ou même trans (cas que je n’ai jamais rencontré en 35 ans de carrière) puisse ne pas avoir à en souffrir, de même qu’un élève qui aurait dans sa parentèle des personnes « LGBT » puisse ne pas subir de discours blessants, de même qu’un élève noir ou disons non gaulois, me semble avoir droit à ne pas subir de discours blessants à l’école. Je parle de discours blessants, pas de simples plaisanteries ou de l’usage de mots que les wokistes voudraient interdire.
C’est peut-être parce que, dès le début et pendant toute ma carrière, j’ai toujours eu affaire à des classes très colorées, que je me suis posé la question de cette différence de traitement (je veux dire à l’époque où la question de l’homophobie était taboue à l’école). La particularité de l’homosexualité par rapport aux autres minorités, c’est que le noir, l’arabe, le juif, le musulman, etc., est toujours protégé à l’intérieur de sa famille, et ne s’y sent pas différent ni rejeté. Pour l’enfant qui commence à se poser des questions sur son orientation sexuelle, c’est moins évident. C’est la raison pour laquelle, parce que j’avais subi ce type de malaise, j’ai contribué à faire comprendre ceci à l’école, sans aucun prosélytisme, en m’efforçant de ne choquer ni de stigmatiser quiconque. Je l’ai fait dans des endroits où c’était a priori le plus difficile à faire passer, dans des établissements « sensibles » de Seine-Saint-Denis.
Ce combat, qui a duré en gros de 1995 à 2014, a connu un succès complet dans les années 2008, ce qui fait que j’ai mis progressivement fin à ma participation en me limitant à des critiques de livres et quelques interventions dans le lycée où j’enseignais, jusqu’en 2014, juste pour compléter le travail entamé. Mais j’ai vu des tas de gens, par arrivisme, passer devant moi et me marcher dessus pour poursuivre un combat gagné, le dénaturer et le pervertir. Il ne s’agit plus dorénavant de « lutter contre l’homophobie », mais d’une part de contribuer à la propagande néocon en dénonçant « les musulmans » qui seraient homophobes, et en attisant le prétendu « choc des civilisations » ; d’autre part, d’encourager la mutilation sexuelle des enfants en promouvant le changement de sexe sous prétexte de la lutte contre la « transphobie ». Ces mutilations sexuelles constituent un crime contre l’humanité ; « Brigitte » en est le principal coupable, et cet individu doit être considéré comme un criminel.
Stérilisation ou pas ?
« Brigitte » n’est donc pas la prof charismatique de la légende dorée que Mimi Marchand nous a placée en tête de gondole de la macronie, qui aurait eu une histoire digne d’Héloïse & Abélard avec un élève brillant. Au contraire, selon Xavier Poussard – jamais accusé de diffamation – « Brigitte » est en réalité un homme, Jean-Michel Trogneux, ayant usurpé l’identité d’une femme, qui a séduit un gamin, s’est servi de ce gamin pour parvenir au pouvoir, et qui depuis qu’il est au pouvoir, « en même temps » qu’il prétend ne pas s’occuper de politique, met son sale nez d’ancien détourneur de mineur dans les affaires scolaires. C’est cet homme travesti en femme qui a choisi tous les ministres de l’Éducation de la macronie, sur un seul critère : encourager de toutes les façons possibles d’une part la chute de l’enseignement français dans les abîmes du classement PISA, d’autre part, encourager la corruption des mineurs par une éducation à la sexualité inappropriée, et par un encouragement satanique au changement de sexe, aux mutilations sexuelles et à la stérilisation.
Certes, cela ne figure pas encore en toutes lettres dans le programme « EVARS », mais l’omniprésence du mot « genre » & le martèlement de ces formules visant à différencier le sexe du genre, portent la marque de fabrique du trans de l’Élysée. C’est toujours l’histoire de la grenouille dans la casserole. Je discutais récemment avec un mougeon qui me sortait le bon vieil argument : « Oui, mais en quoi ça nous gêne que « Brigitte » soit un homme ? » Je lui ai répondu : « Le jour où l’un de tes enfants rentrera de l’école en disant : « la maîtresse m’a dit que je pouvais changer de sexe », il sera trop tard pour t’intéresser au dossier. » Après tout, ils ont gobé les masques, les vaxins ; ils peuvent bien se prendre la bite à « Brigitte » ; ça leur fera remonter les hémorroïdes aux gencives !
Je cite un seul article officiel, pour faire état de l’évolution depuis que ce sectateur des mutilations sexuelles de masse (à supposer que Stéphane de Charnage a eu raison d’assimiler « coupe-zizi » à « Véronique », la personne trans des archives de l’INA, dont la voix & la parlure ont été identifiées comme celles de « Brigitte ») est parvenu au pouvoir, une réponse publiée le 5 décembre 2023 sur le site de l’Assemblée nationale : « il ressort des statistiques dont dispose le ministère de la justice que : - s’agissant des demandes de modification de la mention du sexe dans les actes d’état civil, les juridictions ont été saisies en 2018 de 391 demandes contre 911 demandes en 2019, 1175 en 2020, 1646 en 2021 et 1811 demandes en 2022 ». L’eau se réchauffe lentement dans la casserole… Je traduis en français : entre 2018 et 2022, ce sont 1400 personnes de plus qui ont été stérilisées par la macronie. Voilà le « notre projet » qui se déroule imperturbablement, avec la complicité des députés godillots, du RN à la « gôche ». Je l’ignorais, mais dorénavant, changer de sexe à l’état civil est aussi simple que de changer de banque, selon un site officiel : « Modification de la mention du sexe à l’état civil ». Je crois qu’on n’a même jamais voté pour ça, ni aucun député. C’est formidable. Ils pourraient changer la France en une vague possession de la banque Rothschild sans nous en informer.
Non, en réalité voici la circulaire Taubira qui permet ces changements d’état civil. C’est plus complexe qu’apparemment, et cela n’oblige pas la castration, donc finalement c’est un mieux, et cela explique l’inflation des chiffres, qui ne correspondent pas tous à des stérilisations. Vu que cela date de 2010, on peut se demander si Jean-Michel Trogneux n’en a pas bénéficié. Mieux, une véritable loi a été votée en 2016 (donc avant que macron soit président), dont les conditions sont précisées par cette circulaire du 10 mai 2017 de présentation des dispositions de « l’article 56 de la loi n° 2016‑1547 du 18 novembre 2016 de modernisation de la justice du XXIe siècle concernant les procédures judiciaires de changement de prénom et de modification de la mention du sexe à l’état civil ». Détail amusant, la circulaire en question a été promulguée 3 jours après l’élection de macron en 2017 ! Elle précise clairement que : « L’article 56 crée par ailleurs une procédure de modification de la mention du sexe à l’état civil, simplifiée et démédicalisée sous le contrôle du juge » et que « le fait de ne pas avoir subi des traitements médicaux, une opération chirurgicale ou une stérilisation ne peut motiver le refus de faire droit à la demande. »
Évidemment, cela se discute (et a été discuté, car c’est le fruit d’une longue évolution), mais je vous conjure encore une fois de ne pas juger à l’emporte-pièce, mais de considérer cela avec humanité, en actionnant la balance de la justice. Premièrement, vu la vague actuelle qui déferle, et en attendant le retour de bâton avec les plaintes contre les chirurgiens qui auront stérilisé des adolescents, l’immense avantage est que la loi n’oblige plus à l’irréversibilité, donc permet la réversibilité. Certains crieront à l’imposture et à la tricherie pour les sportifs ; mais je rappelle qu’il ne s’agit que de l’état civil. Rien n’empêche la loi de stipuler que les fédérations sportives puissent procéder à des tests pour déterminer le sexe d’un compétiteur. Quand on a le nez dans le guidon, on oublie de voir le paysage. Je vous renvoie à l’article que j’ai consacré à cette question : « Le sexe sur les documents d’identité et le bulldozer de l’identité numérique. ».
En réalité, cela est un de ces faux débats dont on nous amuse dans le but de nous faire avaler l’identité numérique. Dans cet article, je rappelle que « La mention du sexe sur les documents d’identité est totalement inutile », et qu’elle n’existait pas dans les années 1980, preuve à l’appui. Quant à ces humiliations et à ce quasi viol légal que subissaient les vrais transgenres avant cette simplification, Alexandra Brazzainville en témoigne de façon à la fois dramatique et ironique, dans une émission de Tribune Libre publiée le 29 avril 2025 (minute 55). Elle commet un léger anachronisme d’ailleurs, car cette procédure qu’elle-même a subie jadis (vers 2003), a été théoriquement abolie en 2017 par la loi française ; reste à savoir comment cela se traduit dans la pratique. Selon Alexandra, il existe 150 personnes comme elle en France ; celles dont Françoise Noguès, mère de macron, s’occupait, et 180 000 personnes transgenres, qui selon elle, relèvent d’un domaine différent, ce qui n’empêche pas que cette loi récente a été faite pour ces personnes. Alexandra révèle dans la même émission son projet de poser nue pour un magazine de charme, comme Amanda Lear le fit. Un défi pour Chibritte ?
Au cœur des ténèbres
En tant qu’enseignant, ce qui me scandalise, c’est que cette personne & ses séides aient tenté de maquiller en légende glamour de salon de coiffure ce qui, au terme de la loi en vigueur au moment des faits, était un détournement de mineur. Après avoir bien expliqué ci-dessus que cela ne me choquait pas dans l’absolu (s’il s’agit bien d’un ado pubère de 14 ans qui serait particulièrement brillant et en avance sur son âge ; je vous renvoie aux articles précédents), de même que je ne suis pas choqué dans l’absolu que tel ou tel consomme un produit illicite, à moins que cela n’aboutisse à une affaire Palmade, parce que le fait de désobéir à la loi ne me semble pas forcément toujours une faute impardonnable, je trouve que lorsque ces délits, voire ces crimes, sont commis par des individus qui fricotent avec le pouvoir, ou qui l’incarnent, alors cela prend une autre dimension, et ça devient impardonnable, surtout quand ces personnes se vantent publiquement d’un fait qui devrait au mieux rester une tache honteuse dans leur passé. Cela me rappelle Françoise Sagan régulièrement accusée pour sa consommation de cocaïne. Elle s’était bien défendue en disant qu’elle n’en avait jamais fait l’apologie dans ses œuvres ; mais elle fricotait quand même avec le pouvoir. Elle a eu la chance que son accident de voiture spectaculaire en 1957 n’ait fait aucune victime, la plus atteinte étant elle-même.
De même qu’à l’époque de Mitterrand, nous avoir caché sa deuxième vie et son enfant, alors qu’il aurait pu contribuer au mieux-être des autres Français qui vivaient le même type de situation, en l’avouant et peut-être en créant un cadre légal plus souple pour le mariage et le divorce, me semble une faute, de même, si « Brigitte » et son détourné estiment qu’une histoire d’amour entre un collégien de 14 ans et un enseignant est digne du glamour des magazines people, alors ils auraient dû assumer franchement, eux qui assument toutes les provocations, et supprimer pour toute la population, et pas seulement pour eux, les lois qui s’opposent à ce genre de situation, c’est-à-dire abroger l’article 227-27 du code pénal.
En l’absence de cette abrogation, je ne comprends pas que l’on continue à traîner devant les tribunaux en 2024 un enseignant pour des faits exactement similaires, comme en témoigne cet article du Midi Libre du 4 avril 2024 : « Il voulait "avoir des enfants avec elle" : un professeur gardois de 44 ans accusé d’entretenir une relation avec une élève de 14 ans », alors que la même presse hurle à la « fake news » quand on a l’audace de rappeler que « Brigitte » a détourné un mineur. Comme l’a démontré Xavier Poussard, ces deux individus s’entourent de pédophiles à l’Élysée. Quand ce n’est pas Claude Lévêque, Jean-Marc Borello, voire Olivier Duhamel, c’est un Bayrou qui a étouffé sciemment des scandales pédophiles dans l’école, forcément privée, où il a inscrit ses propres enfants. On dirait que se taper des mineurs ou favoriser les pédophiles est un plus dans un CV pour approcher l’Élysée. Donc il faut qu’ils assument publiquement. En gros, soit c’est « bien », et c’est bien pour tout le monde, soit c’est « mal », et cet individu doit dégager. Nous avons d’ailleurs proposé une parodie glamour d’une chanson célèbre de Dalida : « Il venait d’avoir 14 ans ».
Je me souviens qu’en 2017, quand j’avais eu vaguement vent de cette histoire dans sa version glamourisée, j’avais plaisanté avec mes collègues sur le thème : « Projet de « loi brigitte » : tout enseignant aura droit une fois dans sa carrière à une relation avec un élève ». Cette personne qui a commis l’un des actes qui, toujours 30 ans après, mène devant les tribunaux et met fin à une carrière, se mêle de choisir les ministres de l’éducation, accomplit plusieurs visites chaque mois dans des écoles, où elle a l’audace de parler de « harcèlement », diligente l’inspection d’un collègue sur dénonciation d’un parent à son cabinet, et tutti quanti !
Cette personne qui a détouré un mineur devrait être interdite d’accès dans les établissements scolaires, comme tout prof qui s’est fait prendre, et au lieu de ça, elle passe son temps à y fourrer son sale nez. Je ne suis pas juriste, mais je me rappelle que dans l’affaire Olivier Duhamel, même si les faits précis qui lui étaient reprochés étaient prescrits, une enquête fut ouverte, qui « s’attachera[it] à faire la lumière sur ces faits, à identifier toute autre victime potentielle et à vérifier l’éventuelle prescription de l’action publique ». C’est la procédure normale ; pourquoi l’avoir ignorée en ce qui concerne Jean-Michel Trogneux ? Je suppose que certains collégiens qui assistent à ces visites scolaires d’un ancien détourneur de mineur, doivent se dire que s’ils se tapent une telle rombière, ils peuvent devenir président !
L’attitude de cet individu et de son collégien face au brigittegate est également incompréhensible. Depuis 2017, ils n’arrêtent pas de faire de la provocation en usant de leur pouvoir pour exhiber des transsexuels caricaturaux sur le perron de l’Élysée ou à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques. S’ils apprécient ces spectacles dégradants, c’est leur droit, mais ce qui est insupportable c’est ce « en même temps », qui est autant le gimmick de macron que de son séducteur, comme l’a bien vu notre ami le baron de Pressibus. Soit les trans à talons aiguilles, barbe & bite sont des idoles dignes d’être montrées en exemple au monde entier, et alors pourquoi qualifier de « farfelue » l’affirmation selon laquelle « brigitte » serait un trans à talons aiguilles, avec ou sans barbe & bite ? Le collégien affirme que c’est être « fada » que de trouver que l’individu dont il nous fait payer les perruques est transsexuel, et « en même temps » il ne trouve rien de mieux que d’exhiber au nom de la France des truellées de trans caricaturaux, comme si c’était ce que la France avait de mieux en magasin.
Faut-il rappeler que les archives des services secrets sont truffées d’histoires « farfelues » dans le genre « M. Butterfly ». Pour mémoire, c’est un… jeune professeur de lettres français qui devint fonctionnaire en Chine, et se laissa séduire par un jeune Chinois qui se fit passer pour une fille travestie en homme, alors qu’il était un homme travesti en fille. Si Shi Pei Pu est décédé, Bernard Boursicot, né en 1944, est toujours vivant, et il serait amusant de lui demander son avis sue la question philosophique : « Le fait que « Brigitte » puisse être un homme travesti en femme est-il « farfelu » ou une histoire de « fadas » comme le prétend la journaputerie sur ordre du Fürhoncle ? »
Il n’y a que deux attitudes possibles face à ce qu’ils qualifient de « rumeur » : soit « Brigitte » reconnaît qu’elle est un homme et elle doit déclarer « Bon, vous avez raison, j’osais pas le dire, mais je le reconnais, je suis un homme et je suis fier d’être ce genre de personne si admirable que je vous en ai imposé des tas dans toutes les fêtes payées avec vos impôts » ; soit « Brigitte » ne reconnaît pas qu’elle est un homme et elle doit déclarer « Je suis désolée, mais je ne mérite pas cet extrême honneur que vous me faites en croyant que je suis une personne transsexuelle, car je trouve que ce genre de personnes constituent la perfection de l’espèce humaine, et je fais tout pour que l’Éducation nationale encourage le plus d’enfants possibles à changer de sexe ». Le fait de persécuter les gens qui disent qu’elle est un homme est profondément blessant pour tous nos concitoyens transgenres. Serait-ce finalement infamant que d’être trans ? Alors pourquoi imposer à la face du monde une telle quantité de trans pour représenter la France ? En gros, soit être trans c’est « bien », et ils assument, soit c’est « mal », et cet individu doit dégager.
Je finirai par le fait le plus étrange, qui n’a pas grand chose à voir apparemment avec ces questions, mais constitue un point aveugle au cœur du dossier. Cet individu devenu enseignant par hasard sur le tard, qui ne semble jamais avoir passé de concours, serait donc le meilleur professeur de lettres qui ait jamais existé, au point d’être promu, suite à un détournement de mineur, dans le lycée privé le plus huppé de France, le lycée Franklin. Là aussi il y a un truc illogique : si le fait de passer des concours extrêmement difficiles & coûteux comme le capes & l’agrégation ne sert à rien, puisque on peut s’en passer pour être, selon la presse lécheuse d’anus, le meilleur prof du monde, alors pourquoi cet individu qui a choisi sans concours tous les ministres de l’éducation de la macronie, ne leur a pas ordonné de supprimer capes & agrégation, et de les remplacer par une simple session de recrutement du type « vous aimez les enfants ? » ; « vous aimez « limer » abondamment à la façon de Montaigne ? » Bon pour le service !
Mais il n’y a pas que la presse qui trouve que cet individu qui s’exprime comme une harengère soit le meilleur professeur qui ait jamais existé. Il faut rappeler que Bernard Arnault, l’homme le plus riche de France, a fait en sorte que deux de ses enfants inscrits dans ce lycée, n’aient pas pour prof de lettres un vulgaire agrégé, ni un vulgaire certifié ; au contraire, il est allé voir le proviseur, et il a mis tous ses milliards sur la table pour exiger pour ses deux enfants le seul prof de lettres du lycée Franklin qui n’ait aucun diplôme. Et ce même prof de lettres sans diplôme est devenu ami intime de toute la famille Arnault, et maintenant mannequin clandestin de LVMH avec les « plus belles jambes de Paris ». Et cet individu est aussi ami intime de David de Rothschild, qui n’est même pas milliardaire et n’a aucun pouvoir. Et c’est cet individu qui a présenté le collégien qu’il a détourné à ces braves gens dont il est devenu l’ami par le plus grand des hasards.
Je vous dois un aveu au terme de ces articles : c’est juste par une jalousie de prof que je suis devenu brigittologue. Moi qui ai fait quasiment toute ma carrière dans l’enseignement public du 93, je n’ai pas réussi à devenir l’ami intime de milliardaires, ni l’ami intime de pédophiles. Comme quoi ça tient à pas grand-chose, la brigittologie !
– Vous êtes parvenu à la fin de cette série de 7 articles. Revenez au début : « Socratisation, pédérastie & pédophilie : les mots pour le dire »
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