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Scandale d’État en macronie : le brigittegate

Brigitte Macron : « Et si c’était un homme ? »

Mythomanie pathologique au plus haut sommet de l’État

vendredi 22 octobre 2021, par Lionel Labosse

Profession gendarme avait repris le 30 octobre cet article que j’avais publié quelques jours auparavant sur mon site. Ledit site faisant l’objet d’un shadow banning, mon article n’y a eu que quelques centaines de visites, alors que sur Profession gendarme il avait obtenu plus de 8 000 vues en 24 h. J’étais jaloux, car mes articles à part entière n’ont jamais eu autant de succès quand ils ont été repris sur ce site ! Le 6 décembre, l’article avait dépassé les 40 000 vues, ce qui est un des meilleurs scores de Profession gendarme, et cela malgré certains commentaires émanant probablement de trolls téléguidés par la macronie tentant de faire passer l’affaire pour soit une pure calomnie (« mais non, quelle infamie, elle n’est pas transgenre, la preuve, elle a des enfants »), soit une vulgaire autant que méprisable attaque transphobe (« Quelle honte que d’attaquer ces braves gens sur leur vie privée, ça ne se fait pas »). Or d’une part, ceux qui ont eu la curiosité de faire un tour sur mon site au nom bizarre savent que j’ai toujours été un grand défenseur de la cause transgenre, d’autre part, le fait que près d’un mois et demi après la parution de l’enquête de Faits & Documents (je ne parle pas de ce modeste article qui ne fait que résumer l’enquête et y renvoyer pour plus d’information), aucune plainte n’ait été déposée par l’Élysée (du moins la presse d’État lécheuse d’anus présidentiel n’en a pas parlé) semble de plus en plus corroborer le sérieux de l’enquête, dont ne doutaient guère ceux qui connaissaient la réputation de Faits & Documents, mais dont doutaient ceux qui consacrent à la lecture des articles de Profession gendarme le temps de lire juste le titre et de torcher un commentaire rageur. L’autre fait étonnant, c’est qu’aucun site de la presse libre (je ne cite pas les noms, mais AUCUN), n’a repris ce scoop. Aucun média n’a invité les journalistes auteurs de cette enquête, ou ne les a dénoncés en disant qu’ils ont refusé de s’expliquer. L’omerta est toujours ABSOLUE à la mi-janvier 2022, à l’exception de Radio-Courtoisie, qui a traité l’affaire vite fait, mais comme une plaisanterie. Chez les stars du covidisme, Éric Verhaegue en a dit juste deux mots, Pierre Cassen en a fait deux chroniques faux-cul, Juste milieu en a parlé tardivement en plein milieu d’une longue émission pour que ce soit invisible, Valérie Bugault relaie parfois une info sur son fil Telegram, mais à ma connaissance n’a jamais traité le sujet, bref, cela ne brille pas par le courage. Brigitte Macron a de bonnes chances d’avoir été un homme et de n’avoir jamais été LA prof de théâtre du mythomane de l’Élysée, mais silence radio, enfin pas silence : on continue à diffuser la version mensongère, et c’est bien ça le problème, combien de fois dois-je le répéter ? Je me contrefiche que « iel » (pour souscrire à la mode de l’écriture dite « inclusive ») soit ou ne soit pas transgenre, mais je m’insurge contre le fait qu’on ait utilisé les services de l’État pour répandre un mensonge, falsifier des documents officiels et intimider des journalistes, c’est tout. Et quand je pense aux poux qu’on a cherchés dans la tête de Raoult depuis un an et demi pour tout et n’importe quoi, je ne comprends pas que ce mensonge d’État passe à l’as. J’ai donc proposé à notre hôte de republier l’article un mois après (revu et corrigé), et je me permets de suggérer aux lecteurs de Profession gendarme de faire tourner l’info au maximum pour pallier cette étonnante omerta. Des amis ont émis l’hypothèse que certains gardent le scoop pour la campagne électorale. « Certains », je veux bien, mais tous, absolument tous, alors là je ne comprends pas ! Alors, prêts pour l’affaire #brigibitte (ou « brigittegate ») ? Pour fêter les 200 000 lecteurs (score atteint le 23 janvier) sur la première version, plus 30000 sur la 2e version, je propose une 3e publication, toujours revu et augmenté au fil des jours. Et je note que désormais, les citoyens ont pris l’enquête en mains, que ce soit sur Profession Gendarme ou sur les réseaux sociaux. Cette affaire sera la honte des journalistes. Macron ne pourra sans doute pas se présenter aux élections, car « Où est Jean-Michel Trogneux » serait son « Let’s Go Brandon ». À partir du 29 janvier, la « Chronique du #brigittegate » constitue un article séparé.


J’ai évoqué voici une semaine dans mon journal la bombe publiée dans le n° 501 de Faits & Documents (daté 1er au 30 sept 2001 mais reçu dans ma boîte à lettres (version papier) le 20 octobre, lu le 21 octobre), dernier opus d’une enquête journalistique approfondie en 5 épisodes sur « Le Mystère Brigitte Macron ». J’ai communiqué cette bombe à plusieurs dizaines de personnes, dont AUCUNE ne l’a reprise, malgré ma précaution d’annoncer dès la première phrase que le problème n’est absolument pas que « Brigitte » ait été un homme – ceux qui en ont se les battent – mais que Macron ait utilisé les services de l’État pour imposer un storytelling faux de A à Z et intimider les journalistes qui approchaient trop près du pot-aux-roses. En effet, dans l’état actuel des choses, révéler que « Brigitte » Macron est née homme n’aurait sans doute pas empêché l’élection de Macron, donc cette accumulation de mensonges d’État dissimule probablement autre chose, et en tout cas une personnalité de mythomanie pathologique que le citoyen tout comme le parlementaire, est en droit d’étendre au covidisme. Cet homme ment comme il respire, quel que soit le sujet. Que ce soit sur la fiction de « Brigitte » prof de théâtre de l’ado Macron ou sur son premier mariage, l’investigation de Faits & Documents mène à des révélations dignes d’un roman d’espionnage, et il ne fait aucun doute que dans quelques années, non pas les cinéastes français aux mains liées par l’avance sur recettes et la connivence de caste, mais les cinéastes américains en tireront un scénario. Il faut lire l’enquête entière (il vous en coûtera 48 Є pour les désormais 6 numéros avec l’épilogue paru en janvier). Puisse ce bref article contribuer à empêcher l’omerta sur ce scandale. C’est le genre d’information qui peut constituer un détour pour réveiller nos amis hypnotisés par le covidisme : « Réveillez-vous : ils mentent sur tout, donc ils mentent sur le covid » !

Mais que révèle Faits & Documents ? On crée de faux documents anciens qu’on substitue aux documents réels à la BNF et dans les bibliothèques locales, on utilise la police pour intimider des journalistes ; bref, la mafia macronesque cornaquée par la mafieuse au sens propre Mimi Marchand, utilise les moyens de l’État pour MENTIR sur la nature de sa relation avec ce « Brigitte », en plus du réseau abracadabrant de faux témoins pour accréditer une biographie et une famille presque totalement faux (attention, il s’agirait bien des enfants de « Brigitte », mais elle les aurait engendrés sous son avatar masculin, avant sa transition). Tous les journalistes qui ont pondu des livres « autorisés » sur le sujet se sont heurtés aux mêmes écueils : encadrement strict par l’Élysée, impossibilité d’interviewer « Brigitte », et impasses des rarissimes témoins de cet obscur passé systématiquement limités à la portion congrue ; documents introuvables sur Internet ; inexistence de toute photo de « Brigitte » enceinte, de toute photo de famille ou d’école qui ne soit pas trafiquée, de toute photo ou information sur le petit macron avant 12 ans, alors que ces événements datent d’une époque de boom de la photographie familiale. Bref il y a là un faisceau concordant d’éléments qui mènent à la seule solution possible, que Faits & Documents exprime sous forme interrogative, « Et si c’était un homme ? », mais si vous lisez les 60 pages (sans pub) du dossier, vous aurez peu de doutes, et pour faire moderne, vous direz : « iel est une femme et un homme à la fois ; où est le problème ? ». Ils révèlent même le nom d’homme de « Brigitte », et le nom de la mère de ses enfants, ainsi que le nom (Natacha Rey) de la journaliste à l’origine de cette enquête qui, alors qu’elle avait identifié cette femme, se vit interpellée par la gendarmerie, gardée à vue pendant cinq heures, intimidée, et se fit saisir son téléphone après qu’on lui eut demandé les noms des journalistes avec qui elle était en contact (parmi lesquels les autres auteurs de cette enquête). Il me semble assez facile de vérifier auprès de cette journaliste (cela a été fait depuis la 1re version de l’article), mais contrairement à Sibeth N’diaye, à Véran ou Macron, Faits & Documents a rarement été pris en flagrant délit de mensonge.

Faits & Documents n° 501, 1er au 30 sept 2021, p. 11.
© Faits & Documents

Et c’est à ces menteurs et falsificateurs qu’aucune honte n’étouffe dans leur obsession de créer un « ministère de la vérité » alors que tout ce qui sort des successifs gouvernements macrons n’est que fake news, que certains covidistes font confiance ! Dans mon article sur l’Affaire Olivier Duhamel, j’avais évoqué naïvement l’affaire de détournement de mineur au cœur de la relation entre macron et « Brigitte », sans savoir que la réalité est peut-être bien plus sordide encore (sinon, pourquoi intimiderait-on des journalistes ?) C’est le principe du contre-feu : quand un vaste incendie menace, on allume un petit feu pour prévenir le grand. Alors si cette histoire bidon de détournement de mineur constitue le contre-feu, imaginez l’ampleur de l’incendie qu’il est censé empêcher ! Tapez « brigitte macron transsexuelle » ou « transgenre » sur les moteurs de recherche, et vous vous rendrez compte que cela n’aboutit à rien, alors que la question se pose bien (parlez-en autour de vous). En janvier 2022, la recherche aboutit sur des dizaines de pages identiques de la presse gouvernementale dénonçant la « rumeur » ou la « fake news », autre manière d’invisibiliser l’information.
Le 27 novembre, j’essaie une recherche Google avec le titre de cet article (Brigitte Macron : « Et si c’était un homme ? »), et j’aboutis à une page qui présente cet article repris sur Profession gendarme en 1re position, puis une truellée d’articles de propagande sur le « couple » macron, des anecdotes risibles dont l’existence n’est justifiée que par la place qu’elles prennent pour empêcher d’accéder aux informations dignes d’intérêt. En bas de page, comme pour la recherche « brigitte macron transsexuelle », Monsieur Google nous prévient aimablement : « Certains résultats peuvent avoir été supprimés conformément à la loi européenne sur la protection des données. » Tiens, tiens, Monsieur l’irascible cheffaillon d’état n’a donc pas tapé théâtralement du poing sur l’estrade, mais il a fait supprimer en catimini des pages qui le gênaient dans sa mythomanie d’État ! Vivons-nous vraiment en démocratie ? Comment une telle fourmilière de mensonges d’État peut tenir sans que personne ne mette un grand coup de pied dedans ! On peut subodorer que les GAFAM détiennent un nombre suffisant de secrets sordides bloqués par les moteurs de recherche pour faire chanter ce type, de même que l’attitude délirante de tous les dirigeants de la planète peut s’expliquer par des sextapes ou je ne sais quoi détenues par vous savez qui. Voici la dernière page du dernier des 5 numéros de l’enquête, à se procurer absolument avant que le journal ne soit liquidé sous une accusation quelconque, ou qu’un incendie ne se déclare dans le magasin.

© Faits & Documents
Faits & Documents n° 501, 1er au 30 sept 2021, p. 12.

Si jamais l’omerta était brisée, nul doute que l’appareil d’État n’utiliserait la presse aux ordres pour détourner l’attention du vrai problème. De même, comme l’explique Faits & Documents, que la question sulfureuse du détournement de mineur sous-jacente à la fable de Brigitte prof de théâtre du petit Emmanuel, a été savamment noyée sous la question cosmétique de la différence d’âge, la question du mensonge d’État et des méthodes de barbouzes serait noyée sous une question mineure de tolérance et de « transphobie », avec l’habituel concours d’échasses de l’indignation. Quant aux braves nœud-nœud qui disent : « cette enquête est nulle », posons-leur une seule question : cela fait maintenant une quarantaine de jours que le 5e numéro de l’enquête est paru, et l’Élysée n’a pas porté plainte pour diffamation… Pourquoi, à votre avis ?

Macron agacé par les journalistes
Journaliste mainstream en pleine investigation.
© Bésot


 Aucun média, pas même les médias anticovidistes, n’a encore eu le courage de reprendre cette bombe. Les seuls sont pour l’instant des blogs, comme celui-ci, avec une audience quasi-nulle (attention, c’est désormais faux ; voir ci-dessous).

Voici un extrait d’une entrevue de Xavier Poussard, de Faits & Documents, contemporain de cette enquête, sur le journalisme d’investigation, remplacé par le journalisme mondain de dîners en ville. L’émission plus complète est en lien à partir de Youtube. En voici un autre extrait de dix minutes consacré à l’enquête sur « Brigitte ».
 Grâce à un lecteur de Profession gendarme, je tombe sur une vidéo confidentielle et un peu longue, autre entrevue de Xavier Poussard par Abdel Family (19 novembre 2021). Le début porte sur le « sionisme », histoire de bien décrédibiliser la vidéo. L’affaire Brigitte est évoquée à partir de la minute 24.

 Retour au début de l’article. La « Chronique du #brigittegate », qui suivait à l’origine cet article, est désormais séparée. Voir aussi « #brigittegate : documents d’analyse et de comparaison ».

 Article repris sur Profession gendarme dans sa première version le 30 octobre, puis dans sa 2e version le 8 décembre.

Lionel Labosse.


Voir en ligne : Faits & Documents


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