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« Grosse lesbienne » vs « Une TERF, une balle ».

Alain Soral en prison : pas en mon nom.

Le lobby LGBTtrucmachinchose en course pour le trophée de la communauté la plus casse-couilles.

samedi 8 juin 2024, par Lionel Labosse

Vous pouvez écouter cet article lu par l’auteur sur Odysee. La plate-forme fasciste YouTube m’interdit pour l’instant de publier des vidéos, conformément au plan massif de censure des voix dissidentes avant les élections européennes. Il paraît que mes idées enfreignent les lois de « la communauté ». Cela tombe bien, cet article qu’ils censurent a précisément pour objet de déterminer quelle est cette mystérieuse « communauté » qui décide de ce qu’on a le droit de penser en « démocratie ». Après la période de « pénalité », voici la vidéo sur YT :

Ayant été brièvement une modeste figure du militantisme altersexuel (mot que j’ai proposé en lieu et place de l’acronyme incompréhensible « LGBTtrucmachinchose » aux allures de tancarville), il me semble légitime autant qu’indispensable d’émettre une protestation contre l’emprisonnement d’Alain Soral sous prétexte de « LGBTtrucmachinchosephobie » ; ceci pour sauver l’honneur de cette prétendue « communauté » en réalité ectoplasmique et instrumentalisée par des intérêts occultes. Je publie cet article le 17 mai, journée internationale de lutte contre l’homophobie, journée à laquelle j’ai contribué dès sa création comme en témoigne cet article de 2005. Ce long article a pour but de faire comprendre ce paradoxe : défendre Alain Soral, c’est lutter contre l’homophobie.
Quelle est la raison de cette incarcération d’Alain Soral ? Attaque au couteau contre une famille ? Charlatanisme au profit d’un faux vaxin ayant entraîné la mort de nombreux cobayes forcés ? Violence & menace de mort en bande organisée ? Corruption au sein de l’Union européenne ? Trafic d’enfants ? Non. Alain Soral est coupable d’avoir écrit deux mots qualifiant une militante lesbienne de poids de, je cite : « grosse lesbienne ». Ce visuel réalisé par le site Égalité & Réconciliation, résume bien la chose.

Le mieux est d’écouter Alain Soral expliquer ce nième procès politique qu’il a subi cette fois-ci en Suisse où il avait cru pouvoir se réfugier du fascisme mondialiste qui s’est emparé de la France et de l’UE. Il s’agit d’un extrait d’une vidéo de mai 2023 : « Suisse : mon procès pour homophobie ; fin de la neutralité et calendrier LGBT ». Un article de l’Observatoire du journalisme expose l’affaire, daté du 7 octobre 2023, 6 mois avant la condamnation définitive en appel.
Même si l’objet de cet article n’est pas de défendre les propos d’Alain Soral, mais de protester contre une peine hors de proportion, il me semble utile de l’écouter avant de se demander s’il faut le condamner. En tant qu’altersexuel, je trouve ses réflexions actuelles sur les sujets LGBTtrucmachinchose intéressantes, informées et utiles au débat. Je vous propose cette vidéo datée du 19 février 2023 intitulée « Bientôt la fin de la folie LGBT ? »

Soral est une des nombreuses voix qui en appellent actuellement à la raison et qui nous préviennent de la bombe à retardement de l’actuelle promotion délirante des transitions de genre chez des adolescents voire des enfants, qui forcément dans les années à venir vont porter plainte pour mutilations sexuelles contre les médecins qui les auront opérés et contre tous les apprentis sorciers qui les auront encouragés à se mutiler. Ce sont des sujets que je connais bien, et je m’étonne du retournement à 180° des LGBTtrucmachinchose. De mon temps (quand j’étais un modeste militant altersexuel), le mot d’ordre était de protester contre les opérations précoces de « réassignation de genre » des enfants nés « intersexes » (avec les deux sexes, mot plus précis que l’ancien « hermaphrodite »), ce qui leur imposait l’un des deux sexes sans possibilité de retour avant qu’ils soient en âge d’exprimer leur préférence. Quelques années plus tard, voilà qu’on encourage des opérations de réassignation de genre irréversibles sur des enfants qui n’ont en aucun cas la maturité nécessaire pour faire ce type de choix sans retour. C’est ce qu’explique Soral, mais aussi les époux Delépine. Voir un article très documenté du Dr Gérard Delépine : « Les expériences étrangères de la transidentité chez les mineurs éclairent le problème ».
En ce qui concerne la proportion de naissances intersexe, j’ai trouvé sur le site du Sénat des chiffres contradictoires, de 2 % ou de « une naissance sur 5 000, soit probablement environ 160 naissances par an ». Et Wikipédia brasse large : « Les individus correspondants sont qualifiés d’intersexes ou d’intersexués. Dans l’espèce humaine, ils représenteraient environ 1,7 % des naissances (avec une fourchette entre 0,05 % et 4 % en fonction des sources et des études) ». Je rappelle que même si vous ne représentez que 0,1 % de la population, ce que vous avez en vous, vous le portez 100 % du temps…
Le silence de la « communauté » LGBTtrucmachinchose sur ces sujets clivants qui pourtant doivent les concerner, a de quoi étonner. En effet je suppose que de nombreux enfants de couples gays doivent être sujets à des interrogations sur leur genre, compte tenu de l’exemple de leurs parents et de la surinformation sur ces thèmes. Quelle est alors l’attitude de parents gays à qui leur enfant de 12 ans impose un changement de genre ? La remise en question doit être radicale. Le témoignage récent d’Olivia, née de GPA (d’un couple hétérosexuel) constitue un exemple sur la bombe à retardement que constitue en général le fait de bouleverser la vie d’un enfant sans son consentement ou avec un consentement extorqué avant l’âge.
Rares sont les associations altersexuelles qui aient pris conscience de ce dévoiement mortifère de leur cause. « Gays Against Groomers » est une association étasunienne anglophone active sur les réseaux sociaux, soutenant des candidats aux élections qui signent leur charte « contre la sexualisation, l’endoctrinement et la médicalisation sous le couvert de LGBTQ ». Voici une page en français qui les présente.
Il n’existe pas encore à ma connaissance d’association francophone sinon française qui mène ce combat salutaire. S’il en existe une et que ses membres tombent sur cet article, qu’ils me contactent. Je n’ai plus vocation à militer dans ce domaine, mais une telle cause mérite qu’on s’y intéresse et s’y associe au moins de cœur. On ne peut pas laisser faire cela en notre nom sans au moins dire qu’on n’est pas d’accord. Soral en prison : pas en mon nom !

Lobby juif vs lobby LGBTtrucmachinchose

Il en va des altersexuels comme des juifs. Même si un juif estime qu’il n’a rien à voir avec l’État d’Israël et l’idéologie sioniste, les crimes commis par cet État et au nom de cette idéologie génocidaire retomberont sur lui (« J’ai fait retomber leur conduite sur leur tête », Ézéchiel 22-31) ne serait-ce que parce que l’antiisraélisme de réaction ne le distinguera pas des juifs qui ont participé ou approuvé le génocide. Et au-delà des crimes commis actuellement depuis octobre 2023, l’instrumentalisation de la Shoah et de l’antisémitisme depuis des lustres pour intimider ou museler des penseurs anti-doxa, qui a atteint un niveau délirant lors de la plandémie covidiste où l’on a par exemple tenté de coller le sparadrap « antisémitisme » sur Didier Raoult – dont la femme et les enfants sont juifs – cette instrumentalisation implique indirectement les juifs qui n’en sont pas responsables et qui devraient protester hautement « pas en mon nom ni au nom de mes ancêtres ». Le parallèle va plus loin, car les deux communautés (juive et « LGBTtrucmachinchose ») sont prises en otage par des lobbies qui profèrent en leur nom des choses inadmissibles et manipulent l’opinion.
La « communauté juive organisée » pour utiliser l’expression de Faits & Documents, est redoutable, avec ses innombrables associations de par le monde qui distribuent leurs feuilles de route aux dirigeants qu’elles contribuent à mettre en place. Pour ne pas hypertrophier cette digression, je rappellerai seulement deux faits peu contestables. Premièrement les propos d’Élisabeth Lévy en 2015 sur France Intox à propos du président du CRIF qui engueule les ministres. Deuxièmement l’article du journaliste juif étasunien Thomas L. Friedman en 2011 : « Newt, Mitt, Bibi and Vladimir » : « J’espère que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu comprend que l’ovation debout qu’il a reçue au Congrès cette année n’était pas pour sa politique. Cette ovation a été achetée et payée par le lobby israélien ». En clair, le lobby juif étasunien se vante d’avoir acheté en 2011, je dis bien acheté TOUS les membres du Congrès étasunien. Faut-il répéter cela pour que l’on se demande la raison de l’attitude des députés français actuels face à la dictature d’un parti minoritaire ?
Faut-il rappeler la phrase historique de Charles de Gaulle dans sa conférence de presse à l’Élysée le 27 novembre 1967 ? « Certains même redoutaient que les Juifs, jusqu’alors dispersés, mais qui étaient restés ce qu’ils avaient été de tout temps, c’est-à-dire un peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur, etc. ».
Ce qui se passe actuellement est historique : nous vivons le début de la fin de la domination de la « communauté juive organisée » sur l’opinion occidentale. Des juifs antisionistes courageux ont frayé la voie depuis des années, qui sont des modèles, comme par exemple Jacob Cohen et sa fameuse Quenelle de 2014 en protestation à, je cite, « la puissance du lobby judéo-sioniste ». Et les nombreux membres de l’Union juive française pour la paix comme Pierre Stambul ou Michèle Sibony. En Israël même et aux États-Unis, de nombreux juifs sauvent l’honneur et accusent Israël de « génocide », comme par exemple l’Israélien Raz Segal.
Même si c’est un gauchiste et qu’il s’est ridiculisé à vie avec ses sketches nationaux-covidistes sous la tyrannie du même nom, l’attitude résolue de l’humoriste Guillaume Meurice est historique. Sa phrase « Vous en faites des mugs, des tee-shirts » (à propos de la formule « Nazi sans prépuce »), restera un mème de la libération de la France de ce terrorisme shoahtique qui mène le monde au chaos. On note d’ailleurs que la caste de la « communauté juive organisée » a un coup d’avance, et que beaucoup de ces gens-là se plaisent à cumuler les deux cartes qui permettent de tuer dans l’œuf toute critique. Est-ce un hasard si nos deux derniers premiers ministres sont « en même temps » juif et LGBT. Borne a refusé d’abattre en public aucune de ses deux cartes (le Jerusalem Post s’en est chargé pour elle en la classant 3e de son palmarès 2022 des juifs les plus influents au monde, au cas où elle aurait oublié ses obligations), mais Attal a proclamé l’une à l’Assemblée, puis l’autre lors du repas annuel du Crif. Dire que cet imposteur qui a volé ses diplômes est une nullité crasse est donc à la fois « homophobe » et « antisémite ».
Le problème pour cette caste est qu’à l’instar des chars Abrams sur le front ukrainien, le bazooka capable naguère de dézinguer en un seul coup n’importe quel adversaire est en passe de devenir un pistolet à bouchon qui fait flop, ou un moulin à prière, qui ne convainc que les derviches tourneurs du shoahtisme et du LGBTtrucmachinchosisme.
Horreur suprême, la justice refuse parfois de se laisser instrumentaliser. Rappelez-vous ce préfet indigne qui fit détruire une œuvre d’art. Eh bien hélas pour ces fascistes, l’œuvre d’art de Lekto représentant Attali en Gepetto de la marionnette Macron n’est pas plus « antisémite » que le sketch de Meurice. Oui, on peut en faire des mugs et des t-shirts : Attali est bien le manipulateur de notre marionnette, du moins on a le droit de le penser, et d’ailleurs il s’en est lui-même vanté ! (« Emmanuel Macron ? C’est moi qui l’ai repéré. C’est même moi qui l’ai inventé »). Ce que je suggérerais à Lekto c’est de réaliser une fresque en face de l’Élysée (sur la façade des bureaux de Carlo Brusa !) représentant Emmacruel Nécron en teckel tenu en laisse par Bernard Arnault & David de Rothschild grimés en drag queens dans le style de Jean Hélion ; ce serait plus conforme à la réalité, car Attali et Alain Minc ne sont que des sergents recruteurs… Est-il « antisémite » de rappeler que pour Alain Minc, la marionnette micron est la « pute » de Rothschild ? Est-il « antisémite » de rappeler le fameux mème du président du CRIF forçant la main de sa marionnette, impuissante à échapper à son emprise, comme elle semble pour la vie impuissante à échapper à l’emprise du prédateur qui s’est emparé de lui à l’âge de 14 ans ?
Il n’en reste pas moins que le fait d’avoir dégainé le pistolet à bouchon de l’antisémitisme pour DÉTRUIRE UNE ŒUVRE D’ART est un scandale inouï, et le préfet qui s’est rendu coupable de cet autodafé doit être démis de ses fonctions, et ses responsables doivent en payer le prix. Qui est le marionnettiste des préfets ?
L’armée des néocons poursuit son opération massive mondiale de manipulation des opinions en agitant le grelot frelaté du « choc des civilisations ». Il faut absolument lire cet article de Laurent Guyénot publié par le Réseau Voltaire en 2013 : « Le triple jeu des néoconservateurs », qui explique comment la politique extérieure des États-Unis a été mise au service d’Israël par les néoconservateurs qui sont pour une bonne partie des extrémistes va-t-en-guerre, ceux que Jacob Cohen appelle les « sayanim ». L’opinion publique française est matraquée depuis des dizaines d’années par des divisions hégémoniques de ces néoconservateurs souvent vêtus de la peau du renard qui se font passer pour souverainistes français. Les exemples abondent, les deux meilleurs étant à mon avis premièrement le polygame Zemmour qui passe son temps à stigmatiser un communautarisme, toujours le même, le communautarisme islamique qui – horreur, malheur – prône la polygamie.
Deuxièmement André Bercoff, le héros des anticovidistes, qui pourfendait les conflits d’intérêt des médecins de plateaux-télés oubliant de déclarer leurs liens avec les labos, mais qui, à chaque fois (au moins une fois par semaine) qu’il consacre une émission à pourfendre un communautarisme, toujours le même, le communautarisme islamique, oublie systématiquement de préciser son lien d’intérêt avec la « communauté juive organisée » et son militantisme sioniste, comme l’a exposé Faits & Documents dans le numéro qu’il lui a consacré. André Bercoff a parfaitement le droit d’être un militant sioniste, mais passer son temps à dénoncer le communautarisme islamique sans préciser qu’il est un militant du communautarisme juif relève de la malhonnêteté intellectuelle. Quant à Meyer Habib, il est hors concours, et il serait sans doute « antisémite » de rappeler à l’instar de François Belliot son rôle dans l’étouffement de l’enquête sur Charlie Hebdo.
Cette malhonnêteté est tellement courante qu’elle fait taire depuis des lustres les voix dissidentes. Il est plus étonnant d’entendre quasiment chaque jour dans l’émission matinale de Radio Courtoisie « La Ligne droite » un matraquage éhonté sur le même thème du « communautarisme » toujours et uniquement musulman. Stanislas Berton nous met en garde dans cet extrait d’une conférence donnée en mai 2024, où il évoque le « Plan Kalergi ». Heureusement, Wikipédia qui nous aime bien, mais qui aime bien aussi les subventions désintéressées de milliardaires, a tartiné beaucoup d’« extrême drouâteuh » dans son article sur ledit plan. Or le génocide en cours à Gaza, perpétré par des hordes de « nazis sans prépuces » qui pullulent dans les médias fascistes, est le début de la fin de ce terrorisme intellectuel. Voyez le naufrage de « Finky » exposé par Égalité & Réconciliation.
Je n’en dis pas plus sur le sujet ici et vous renvoie à cet article « Apartheid & Étoile jaune : le camp du bien nous donne encore la leçon ». En fait il n’y a rien là que de très habituel, sinon normal. On cite souvent la proportion de 5 % entre les résistants d’un côté et de l’autre côté le bloc de 90 % de résignés tétanisés par les 5 % de collabos qui soutiennent la tyrannie.
Ce que nous observons actuellement au sein de la communauté juive mondiale est la même chose que ce que nous avons observé dans la plupart des pays occidentaux qui donnent des leçons de démocratie au monde libre. 5 % de résistants à l’idéologie nationale-covidiste, 5 % de collabos, et 90 % de moutons prêts à se laisser mener à l’abattoir. Il n’est pas étonnant que des juifs rescapés du génocide qui ont encore la force de s’insurger, comme Vera Sharav , aient tout de suite compris l’arnaque.

Jeux Olympiques de surveillance totalitaire, avec la complicité active du lobby LGBTtrucmachinchose.
© anonyme

Le LGBTisme est devenu un fascisme qui va engendrer de l’homophobie

Pendant qu’Alain Soral purge une peine de prison pour deux mots, des nazillons qui prétendent parler en mon nom (sans doute financés par George Soros comme la plupart de ces idiots utiles) profèrent des menaces de mort et les inscrivent sur les murs de Paris sous la forme d’un acronyme fuligineux, comme tout le langage des meneurs LGBTtrucmachinchose, souvent des intellectuels déconnectés de la réalité incapables de comprendre que leur sabir est incompréhensible de la plupart des gens, comme leur novlangue « inclusive » justement dénoncée par l’Académie française. Il s’agit de la formule « Une TERF, une balle », qui n’est pas sans rappeler la magnifique chanson d’Enrico Macias, « Enfants de tous pays, dégommez-vous ». Voyez cet article.
Compte tenu du fait que les nervis gauchistes commettent régulièrement des passages à tabac qui sont de véritables tentatives de meurtre, comme celles dont a été victime mon ami Léopold Jimmy, classées sans suite par la justice gauchisto-macroniste, ces graffiti ne sont pas à prendre à la légère, et leurs auteurs devraient, si nous vivions en démocratie, être fichés S par la police. Mais le gouvernement et ses faux opposants unanimes sur ce sujet, de LFI au RN, sont parfaitement synchrones : « Grosse lesbienne » = violence homophobe insupportable / « Une TERF, une balle » = liberté d’expression. Qui est fiché S ? Des gilets jaunes et par exemple Xavier Moreau.
Darmanin a rendu inopérant ce fichier en y fourrant de force des opposants à la dictature d’Emmacruel Nécron, de sorte que la police ne puisse plus identifier clairement les « séparatistes » potentiellement dangereux. C’est l’application par la police de l’étiquetage « antisémite » par la police de la pensée sur toute personne qui s’écarte de la doxa. La conséquence sinon le but est que le bazooka des fichés S n’est plus lui aussi qu’un pistolet à bouchon qui ne peut que laisser passer des « loups solitaires ». N’est-ce pas le but, puisque chaque attentat est prétexte à une nouvelle destruction des libertés… des citoyens complotistes ?

LGBT vs Stop Gaza genocide : L’État choisit les bonnes revendications et les mauvaises.
© iraninarabic

Le lobby LGBTtrucmachinchose toujours parlant en mon nom, pratique l’inversion accusatoire, et alors que c’est lui qui menace de mort ses opposants, agite le moulin à prière « La transphobie tue », comme ici avec SOS Homophobie. Chacun a pu constater que les rues de France sont jonchées de cadavres de trans. Cet infâme lobby LGBTtrucmachinchose qui parle en mon nom pour proférer des conneries me met en danger, parce qu’une poignée d’homophobes résiduels risquent de se venger sur moi de leurs conneries. Cet obscur lobby menace en réalité nos droits constitutionnels d’expression et de manifestation. Ces militants bidons sont en réalité subventionnés par des milliardaires et par l’UE pour couvrir de leurs gloussements les seuls slogans que l’on devrait entendre actuellement : « Israël tue » ; « l’Otan tue ». Comme disait Bourdieu : « Si l’on emploie des minutes si précieuses pour dire des choses si futiles, c’est que ces choses si futiles sont en fait très importantes dans la mesure où elles cachent des choses précieuses ».
Pour parler clair, la « communauté LGBT » est un leurre très pratique utilisé par les manipulateurs à la Soros. Il n’y a pas de « communauté LGBT ». Quel rapport entre un activiste « LGBTtrucmachinchose », Muriel Robin, moi, Amanda Lear et Jean-Michel Trogneux, François Asselineau ou Florian Philippot ? Et je ne parle pas des pourritures comme Pierre Palmade ou Frédéric Mitterrand. Croyez-vous qu’Asselineau, qui a reconnu ses pulsions bisexuelles, se considère comme « LGBT » ? On a compris que Jean-Michel Trogneux préfère faire déclencher une apocalypse nucléaire au mineur qu’il a détourné plutôt que de reconnaître qu’il est transgenre, alors que « en même temps », il promeut le changement de sexe dans les écoles comme un truc tendance ?
Faut-il rappeler à ces faussaires que, loin d’être un pays transphobe, la France s’est depuis toujours manifestée comme un pays transphile. Que ce soit à Paris ou en province, les hétéros se précipitent aux spectacles de cabarets transformistes. Faut-il rappeler les soirées de l’ignoble Jean-Marie Le Pen « extrême drouâteuh » chez Michou ? Amanda Lear est adoré par le public, et le trans Jean-Michel Trogneux, détourneur de mineur qui crèche à l’Élysée, si l’on croit la presse des milliardaires qui ont mis au pouvoir le collégien qui fut sa victime, à l’âge de 14 ans selon Emmanuelle Anizon, est adoré des Français qui trouvent que ses cannes étiques sont « les plus belles jambes du monde ». Cet individu a pour « meilleur film » une comédie transgenre de Billy Wilder intitulée Certains l’aiment chaud, un chef-d’œuvre universellement admiré. Le film et la comédie musicale Rocky Horror Picture show connaissent un succès ininterrompu depuis 50 ans. Tout cela est connu et incontestable (l’individu qui a usurpé l’identité de « Brigitte » macron n’a jamais porté plainte contre Faits & Documents mais on détourne notre attention avec un obscur procès annexe), mais ce lobby LGBTtrucmachinchose « sûr de lui-même et dominateur » nous rebat les oreilles avec des accusations de crimes imaginaires. Il s’agit d’une course de fond entre deux lobbies qui se disputent la palme de la communauté la plus casse-couilles et liberticide, tout en accusant l’islam de la détenir !
En mai 2024, le dernier concours de l’Eurovision a été un festival de satanisme & lgbtisme dans lequel l’art de la chanson s’est évaporé. Les imbéciles s’en félicitent sans voir que laisser associer sans protester satanisme et LGBTtrucmachinchosisme dans l’esprit du citoyen européen lambda va forcément engendrer une association d’idées entre les deux et une homophobie dont sera victime le gay de la rue, de même que le juif de la rue sera victime de l’antiisraélisme de réaction que Netanyahu fait sciemment croître & multiplier. Il sera inutile de faire les vierges effarouchées : il y aura forcément des « vengeances ». C’est l’honneur des militants de l’Union juive française pour la paix et de tous les juifs antisionistes par le monde de mener ce combat ouvertement avec grand courage. En prenant tous les risques, ils vont limiter les dégâts tant côté juifs de la diaspora que côté Palestine. Les manifestations et protestations actuelles par le monde parviennent partiellement à enrayer la machine de guerre étasuno-israélienne et c’est maintenant un génocide alimentaire, sanitaire et poliorcétique.
Être homosexuel ou transgenre et laisser faire l’endoctrinement voire la mutilation sexuelle des enfants ou des adolescents, laisser avancer le rouleau-compresseur de la GPA, qui ne concerne d’ailleurs que des gens fortunés qui font passer pour du « progressisme » ce qui relève du trafic d’êtres humains, c’est laisser grandir un monstre et une bombe à retardement qui va nous exploser à la figure. L’affaire actuelle de la clinique Tavistock constitue un avertissement sérieux pour les irresponsables LGBTtrucmachinchosistes, qui devront payer un jour ou l’autre. En ce qui me concerne, cet article constitue mon sauf conduit pour l’avenir, et j’appelle tous les altersexuels à le reprendre à leur compte et à leur façon.
Il ne se passe pas un jour sans que le rouleau compresseur de cette opération d’ingénierie sociale LGBTtrucmachinchosiste ne nous envoie un drone en pleine face. Les Jeux Olympiques de Paris sont en réalité des « JOLGBTQI+ », qui n’ont plus rien à voir avec l’esprit olympique ni avec le sport. Il s’agit d’une « folie criminelle » comme l’a dénoncé cette chronique de La Ligne droite. Et au lieu de la dénoncer, au lieu de s’opposer au gouvernement, comme le firent souvent nos prédécesseurs du temps où les activistes gays n’étaient pas vendus au pouvoir, les individus que les médias du pouvoir nous présentent comme des porte-parole de la « communauté » LGBTtrucmachinchose, soutiennent de tout leur poids le totalitarisme covidiste ou olympique. Aucune association LGBTtrucmachinchose n’a protesté contre les passes sanitaires imposés dans les établissements gays, alors que pourtant les gens de ma génération ont milité dans leur jeunesse pour défendre les gays atteints du sida qui n’était pas une maladie imaginaire avant les trithérapies efficaces (vers 1995). Les « Sœurs de la perpétuelle indulgence » étaient des drag queens qui avaient des couilles et de l’humour, diplodocus de ce temps où les revendications des militants n’étaient pas subventionnées par le pouvoir pour cacher les vraies revendications du peuple dont on écrase le regard à coups de talons.
Aujourd’hui, tout est fait pour présenter les Jeux comme une manifestation LGBTtrucmachinchose. Cela commence avec cet étalage d’innombrables panonceaux d’un rose pisseux partout dans le métro. Le rose est-il la couleur qui colle le plus à l’esprit des JO ? Il a sans doute fallu verser 400 000 € à McKinsey, les copains d’Emmacruel Nécron, pour trouver cette idée absurde. Voyez donc ce que ça donne ci-dessous. Et en même temps, nous subissons une autre campagne d’affichage dans le même métro, avec le slogan « Sur l’ensemble de nos lignes, la lutte contre la LGBT-phobie c’est 365 jours par an ». Et contre le génocide à Gaza, c’est le 29 février des années bissextiles ? Recasé à la RATP, Jean Castex fait de son mieux contre la « transphobie » pour sauver le soldat Chibritte…

Affichage officiel JOLGBTQI+ 2024 du métro parisien.
© Lionel Labosse

Récemment le monde entier a appris consterné (sauf Sardine Ruisseau qui en frétille d’aise) que le parcours de la flamme olympique sera commué en gay pride, avec plusieurs drag queens et autres personnes portant comme Goebbriel Anal, notre ministre de la propagande, leur LGBTtrucmachinchosisme en sautoir. Nul doute que cela ne ravira les chefs d’État africains auxquels Emmacruel Nécron avait trouvé malin de dépêcher des « ambassadeurs LGBT ». Ce qu’il faudrait pour mettre fin à cette folie totalitaire LGBTtrucmachinchosiste, c’est que les pays des BRICS et les pays d’Afrique boycottent ces JOLGBTQI+ pour rejoindre les Jeux des Brics à Kazan à teneur garantie à 0 % de LGBTtrucmachinchosisme. Alors l’Occident dégénéré pourra « se donner, dans une paix sans mélange, le spectacle sacré de sa propre présence » (pour paraphraser Marguerite Duras).
Parmi ces messieurs-dames, un certain Arthur connu sous le nom de marque © Minima Gesté et présenté par les médias du pouvoir comme « première drag queen à porter la flamme olympique en France ». D’après ce que j’ai compris cet individu dirige une entreprise de spectacle où il se produit comme animateur de lotos ou autres réunions récréatives. C’est fort bien, et j’apprécie d’habitude beaucoup l’humour drag ou transformiste ; je n’ai aucun souci avec cela ; j’ai même un ami très proche nommé Coccyx Grue qui s’amuse comme une folle à rendre hommage au Premier dame de France – les plus belles jambes de Paris – sans en tirer le moindre centime, et fort jaloux de ne pas avoir été choisi pour porter la flamme et ridiculiser l’esprit olympique. Ce Coccyx Grue aurait davantage fait rire nos amis africains et même nos amis russes que ce monsieur Arthur qui se vante de peser cent kilos. Je dis cela au cas où Soral voudrait le traiter de « grosse drag queen » !
Cet Arthur qui est donc un chef de sa petite entreprise qui lui permet de gagner sa vie, ce qui est fort bien pour lui, se permet de parler en mon nom en tenant un discours militant « contre l’homophobie et contre le sida ». Je suis désolé ma grosse drag queen (chouette, je vais aller en prison !), mais je t’interdis de parler en mon nom. Je suis écœuré qu’un artiste de cabaret, aussi talentueux soit-il, se croie autorisé, alors qu’il ne s’appuie sur aucune légitimité populaire, à parler au nom des gays et autres. Qu’il mène son petit commerce dans son coin, qu’il se baigne dans la Seine avec Annie Dingo, Jean-Michel Trogneux et Choupinet s’il le veut, mais je refuse d’avoir quoi que ce soit à voir avec ces pitreries qui ne me font pas rire et qui constituent en fait une pub pour le « notre projet » délétère & délirant d’Emmacruel Nécron et de ses propriétaires.
Cela fait un moment que les brigittologues ont compris que le matraquage transgenre (plus que LGBTtrucmachinchosiste en fait) est une ingénierie sociale destinée à officialiser le coming out transgenre de l’usurpateur d’identité et détourneur de mineur de l’Élysée qui nous coûte un pognon de dingue en perruques et en chirurgie de féminisation du visage dans la clinique du Dr Bui. Et cela passe par l’hypersexualisation des enfants par l’OMS, dénoncée dans cette chanson par Marie-Line Weber, laquelle se revendique « grosse lesbienne » et autorise Soral à la qualifier comme telle, de même que je l’autorise à me traiter de « gros pédé » si ça peut lui faire plaisir pendant qu’il se fait sodomiser dans sa cellule par des blacks bodybuildés, au grand dam de Choupinet (qui espérons-le aura bientôt cette chance).
Cela ne se fera pas en mon nom, et je souhaite qu’il se crée en France et dans les pays francophones des associations qui protestent contre ce rouleau-compresseur de faux progressisme à la solde des milliardaires qui les financent en sous main. Même pour l’épreuve de Culture Générale de BTS de mai 2024, ils ont réussi à pondre un sujet wokiste abordant la question transgenre ! C’est stupéfiant le degré de collaboration de chaque rouage de l’État pour faire passer la bite du Premier dame ! J’imagine Goebbriel Anal, ministre de la propagande, convoquer un recteur pour lui ordonner d’ordonner aux inspecteurs que les sujets d’examen mettent en avant des personnages trans. Voici où nous en sommes.

Affaire Soral : Quel est le crime le plus horrible ?
© GravierRoland

Le cas Soral : il y a homophobie et homophobie

Il me semble être d’autant plus légitime à défendre Alain Soral que j’ai été victime jadis de sa part d’une insulte homophobe caractérisée à laquelle j’ai consacré cet article : « Alain Soral : le « nazillon » qui tire sur tout ce qui pense ». Oui, Alain Soral était homophobe. Et j’explique dans cet article que son homophobie était contre-productive, puisque son insulte à mon égard m’a longtemps empêché de m’intéresser à ses propos, de même que je m’étais éloigné de Dieudonné (j’étais allé le voir en spectacle quand même) parce que ses blagues sur les juifs avaient fini par me sembler trop lourdes, comme s’il n’avait que ça à dire.
La clarification actuelle permise par l’offensive covidiste et à l’occasion du génocide perpétré par l’État israélien a nettoyé le champ de bataille, et je pense que de tous les côtés, du moins chez les gens honnêtes, nous avons identifié nos vrais ennemis. La procédure de pardon de Dieudonné avec Lalanne d’un côté, le travail effectué par Soral de l’autre, qui a fini par comprendre que les juifs comme les altersexuels de la rue sont finalement victimes de truands qui parlent au nom du shoatisme et au nom du LGBTtrucmachinchosisme, et qui s’est mis à parler de ces gens avec empathie, tout cela fait progresser les Panzerdivisionen de « la vérité qui prend l’escalier » face aux chars Abrams du « mensonge qui prend l’ascenseur ». Depuis que j’ai redécouvert Soral, son site Égalité & Réconciliation est devenu pour moi un site de référence, dont je dévore les articles au quotidien.
Je voudrais clarifier les choses en tant qu’ancien militant « altersexuel » et non « lgbtiste ». Ce qui m’avait blessé dans l’insulte de Soral c’est que justement il me traitait comme les militants « lgbtistes » auxquels je m’opposais alors (en 2012), ce qui me valait la double peine d’être à la fois excommunié par les « LGBT » et victime des insultes des homophobes. Mon livre contre le mariage gay et mon opposition aux lois de répression de l’homophobie, ma dénonciation des profiteurs de la communauté gay dans mon livre paru en 2005 Altersexualité, Éducation et Censure (« Il y a quelques années, une société privée avait déposé la marque « Gay pride », et fait du profit sur notre dos. Aujourd’hui, ce sont quelques blancs-becs sans scrupules ni légitimité, qui nous instrumentalisent et inventent la « Triste Pride ». Ai-je seulement le droit de dire que je ne suis pas d’accord, sans qu’on me traite d’ « intellectuel de salon » ? Je ne veux pas vivre une dictature gaie (et je ne souhaite à personne de m’avoir moi comme dictateur !) Les altersexuels sont là pour briser les carcans, pas pour s’ériger en inquisiteurs en écrasant de leurs chaussettes à clous ou de leurs talons aiguilles les têtes de leurs prédécesseurs. Est-il à ce point inéluctable que les anciens persécutés deviennent les nouveaux oppresseurs ? Qui donc rompra cette chaîne, qui mène en ligne tortueuse de l’orthosexocratie à l’altersexocratie ! »), tout cela m’a fait mettre au ban de ladite communauté, de même que les juifs qui critiquent le sionisme sont les parias de la communauté juive.
Quand j’avais sorti mon livre sur le mariage gay, malgré un article dans Le Monde, je n’avais eu droit à aucun article dans la presse gay, et n’avais été invité à aucun débat dans des centres « LGBT » pourtant subventionnés par mes impôts. Bref, la prétendue communauté LGBTtrucmachinchose actuelle n’est plus qu’un fürhoncle liberticide, il n’y a rien à en attendre, et je conteste toutes leurs prises de position, mais j’ai beau protester, l’hétéro de la rue continuera à croire que ces faussaires corrompus par des George Soros ou des Bill Gates parlent en mon nom. Nous sommes coincés, d’où cette protestation. J’ai pardonné à Soral, mais un petit message de « réconciliation » de sa part ne serait pas vain.
Dans les milieux résistants que j’ai commencé à fréquenter pendant la tyrannie covidiste, émergent souvent des saillies réellement homophobes, fort compréhensibles vu les provocations incessantes de la caste qui instrumentalise le lgbtisme. Je dois donc terminer par une mise au point. Je suis d’une génération qui a plus ou moins connu l’homophobie aux débuts du mitterrandisme qui a commencé à la combattre avec Badinter. Les pitreries des drag queens actuelles déformées par l’effet loupe des médias ont fait oublier le harcèlement policier des années 70 et 80, les descentes de police humiliantes dans les établissements et lieux de drague gays. J’ai connu de l’intérieur l’association AIDES en 1989-91 où j’ai vu de mes yeux les mourants du sida souvent harcelés par homophobie en plus de leur maladie, et la naissance de l’idée qui donnerait le PACS des années plus tard, pour les protéger de certaines malveillances.
Devenu enseignant en 1991, j’ai immédiatement entamé une activité militante – à l’époque où ce n’était pas bien vu – en prenant d’abord le prétexte du sida, puis en faisant partie des pionniers de la lutte contre l’homophobie en milieu scolaire. J’en suis devenu l’un des premiers de cordée, sans jamais me mettre en avant autrement que par mon travail de terrain puis sur ce site, un travail totalement libre et indépendant sans la moindre subvention, ce qui ne m’a pas été pardonné par le milieu LGBTtrucmachinchose.
Au fil des années, j’ai expérimenté dans les collèges puis lycées publics de Seine-Saint-Denis, où j’ai travaillé entre 1996 et 2018, des actions éducatives et culturelles permettant de lutter de façon non prosélyte et non agressive contre l’homophobie, ou plutôt pour la tolérance à la diversité sexuelle. De nombreuses traces en restent sur le présent site et ailleurs. J’ai par exemple expérimenté dans mes classes, pour le bien public commun, le plus large spectre possible d’associations œuvrant en milieu scolaire contre l’homophobie, de SOS Homophobie à d’autres au positionnement plus généraliste, et j’en ai rendu compte de façon objective, de façon à discerner les meilleures pratiques. Cela ne m’a pas été pardonné par les activistes dont j’ai parfois pointé certains discours inappropriés.
J’ai parfois fait des erreurs, ce qui est normal quand on expérimente, et je les ai reconnues dans le but de frayer un chemin pour des actions constructives qui ne mènent pas à l’effet inverse que celui escompté, comme c’est malheureusement le cas actuellement. Je répète : les menées actuelles des LGBTtrucmachinchose engendreront d’ici peu autant d’homophobie que les massacres de Netanyahu créeront d’antisémitisme.
La principale erreur que j’ai commise a été de sous-estimer la « théorie du genre » et son pouvoir de nuisance. Je croyais que les chercheurs de ce domaine se livraient parfois à des exagérations, voire des provocations habituelles dans tous les domaines de recherche, mais que le temps trierait. Je m’étais moi-même, plus ou moins sciemment, livré à des provocations. J’étais à moitié innocent disons jusqu’au covidisme, et j’ignorais que des manipulateurs mondialistes pussent changer la donne de la « main invisible du marché » des idées à coups de subventions aux unités de recherche et aux médias, et propulser un Dr Véreux en tête de gondole du marché de la science tout en faisant passer un Pr Raoult pour un charlatan.
J’ai publié sur le présent site des centaines de critiques de livres jeunesse traitant de questions altersexuelles, sans complaisance, et là aussi signalant ce qui était pour moi de bonnes et de mauvaises pratiques. Là aussi je ne me suis pas fait que des amis, car ce petit lobby « sûr de lui-même et dominateur » n’admet pas la contradiction. Je me suis souvent amusé pendant cette période de ma vie où j’étais interviewé (j’ai longtemps été l’un des seuls enseignants à traiter de l’homophobie dans des établissements publics de ce département honni), à remarquer que mon interview était jetée à la poubelle par le journaliste, et remplacée par celle d’un jeune prof qui rasait les murs & n’avait jamais osé lever le petit doigt, et proclamait en gros titre « Il est impossible de parler d’homosexualité dans certains établissements ».
Un journaliste très connu de France-Intox est venu m’interviewer chez moi pour un livre consacré aux sans voix. Quand le livre est paru, banco, mon entrevue était remplacée par un autre type qui ânonnait le discours attendu que je résume ainsi : « 100 % des élèves de culture musulmane sont d’horribles homophobes, tuez les tous, dieu reconnaîtra les siens. Heil Zemmour ». C’est le discours néocon du « choc des civilisations ». Toute personne qui propose une vision de terrain moins manichéenne est invisibilisée.
Vu mon expertise sur le sujet, on aurait dû me proposer un poste de référent national ou académique (que j’aurais sans doute refusé), mais non, au fil des années, j’ai vu ces places prises par ceux qui avaient compris que grâce aux braves cons comme moi qui avaient traversé le champ de mines, le marché de la lutte contre l’homophobie était désormais aussi rémunérateur que celui du shoahtisme. J’ai donc quitté cet activisme définitivement en 2014, mais je n’ai aucune leçon à recevoir de militants de la 11e heure, et je leur interdis de parler en mon nom.
Cependant, à nos amis résistants à la tyrannie mondialiste excédés par ces pitreries & gesticulations de faux activistes, qui tombent dans le rejet de toute revendication altersexuelle, je me permets de leur rappeler qu’il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. La gay pride devrait constituer une fête carnavalesque tout à fait légitime, y compris dans ses excès, comme tout carnaval hétérosexuel. C’est une fois par an, et ce n’est pas fait pour les enfants, avec du sexe comme dans tous les carnavals (Le carnaval de Dunkerque, les touloulous de Guyane, le carnaval de Rio, etc.). Ne pensez pas à la mascarade people de Paris, avec le défilé des m’as-tu-vu de plateaux-télés et les slogans imposés par la nomenklatura LGBTtrucmachinchosiste. Pensez au modeste défilé de province qui va permettre à la jeune fille qui se découvre attirée par les filles et n’ose rien dire chez elle, de rencontrer des gens comme elle. Les gays & lesbiennes sont une catégorie de minorité pour qui le cocon familial n’est pas toujours un cocon, contrairement aux minorités ethniques ou religieuses. Aussi persécuté soit-il, un enfant Palestinien ne vit pas dans une famille de juifs du Likoud. Quand j’avais 20 ans, les gay pride de Paris réunissaient quelques centaines de personnes… Dans tous les domaines, évitons de juger les choses du passé avec les lunettes du présent.
Quand ils font de l’humour et mènent leur petit commerce sans nous casser les couilles, les drag queens proposent un excellent divertissement. On pourrait même imaginer un spectacle de drag queen à destination d’un public familial, exempt de tout prosélytisme. Le drapeau arc-en-ciel est un signe de reconnaissance non-violent tout à fait légitime, et n’est pas du tout la propriété des gays, mais aussi du mouvement « Pace » ou des Incas ; d’ailleurs les LGBTtrucmachinchosistes l’ont dénaturé et vidé de toute substance en voulant y ajouter autant de couleurs que de lettres dans leur acronyme tancarville. Sur le fil Telegram de La Rose Blanche, qui depuis le covidisme propose des auto-collants et signale des actions diverses sur l’espace public, a été récemment publiée une vidéo d’un abruti en train de recouvrir nuitamment un banc multicolore de peinture noire. Exemple typique d’action contre-productive. La vidéo était confuse mais il était évident qu’il ne s’agissait pas d’un drapeau gay, car les couleurs n’étaient pas classées selon l’arc-en-ciel. Et il y a suffisamment d’affiches explicites de propagande pour ne pas se livrer à ce type de vandalisme qui ne sera perçu par le public que comme une dégradation gratuite. Le type pourrait aussi bien mettre le feu à un magasin de jouets, ou peinturlurer une femme africaine revêtue du drapeau palestinien ! Ou déclencher une bombe atomique pour détruire un arc-en-ciel après la pluie. Ou, s’il est daltonien, exterminer un troupeau de zèbres !
Faut-il rappeler à nos amis militants que le monde hétérosexuel n’est pas un monde de bisounours. Un mariage sur deux se termine en divorce… Les boites à partouze où se retrouvent les hétéros n’ont rien à envier aux backrooms gays. La prostitution et le porno gay ne me semblent pas plus dégradants, voire moins, que la version hétéro. Et ce n’est pas nouveau. Je vous renvoie à Casanova et à Rétif de la Bretonne pour savoir comment les gens baisaient en public au XVIIIe siècle, ou comment le roi pédophile Louis XV se faisait acheminer les plus belles mineures du royaume.
Les abus sexuels commis par des hétéros, y compris dans les écoles, ne relèvent pas d’une théorie du complot, ni certains comportements homophobes. Je regrette seulement que la méthodologie non-violente et non prosélyte de lutte contre l’homophobie que j’avais contribué à mettre en place avec quelques camarades au début des années 2000, ait été abandonnée au profit des délires contre-productifs actuels, dans le silence assourdissant des personnalités de plateaux-télés, le même silence que celui qui laissa faire la tyrannie covidiste et qui laisse installer la société de surveillance sous prétexte de jeux olympiques.

Au terme de ce trop long article, revenons au sujet. Même si ce n’est qu’une peine de 40 jours, Alain Soral est un prisonnier politique, à un niveau moindre que Julian Assange dont je vous rappelle ce discours historique. Tous les opposants à la canaille mondialiste sont des prisonniers politiques en puissance. La leçon du pasteur Martin Niemöller vaut aussi pour Soral, car il ne fait que précéder chacun d’entre nous. Le défendre c’est se défendre. Bientôt votre serviteur sera en prison sous prétexte de « transphobie » pour avoir divulgué l’information donnée par Faits & Documents selon laquelle Jean-Michel Trogneux, ancien détourneur de mineur de moins de 15 ans, usurpe une identité et une fonction informelle de « première dame » dans notre pays. Celui qui dit la vérité doit être exécuté.
Avec la complicité active des collabos du LGBTtrucmachinchosisme.
En guise d’ironie du sort, je dédie à Soral cette chanson typique des années 70 signée Maxime Le Forestier : « La vie d’un homme » : « Tu n’aimes pas la pitié, Pierre, / Aussi je ne te plaindrai pas. / Accepte juste ma colère, / J’ai honte pour ce peuple-là. / Je crie à ceux qui se reposent, / À ceux qui bientôt t’oublieront. / La vie d’un homme est peu de chose / Et Pierre la passe en prison. »

Je terminerai par une petite saillie apotropaïque, destinée à me préserver de la bordée de mots en -isme que ne manquera pas de me valoir cet article, de la part des gens que je conteste, en lieu et place d’arguments, selon les valeurs de la « démocratie » dont se réclament ces imposteurs. Et postrices.


 Verdi a consacré une de ses chroniques à cet article. Merci à lui !

 Article repris par Profession gendarme.

Lionel Labosse


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